Superboss

Cathy | Cré'Align® • Art-Thérapie & Neurosciences

• Tarik Jem

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Tarik Jem, Agent catalyseur X 🧪
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elle le Cathy bienvenue à toi sur le podcast super boss et dans fais ton show. Merci d'avoir répondu à mon invitation. Alors je te présente en quelques mots rapidement Cathy de crée à ligne, mais on va revenir sur vraiment le détail de ce que tu fais réellement à la fin du podcast. Donc rester. À l'écoute parce que son histoire est absolument remarquable, incroyable de résilience. Et je suis sûr et certain que vous allez être inspiré a également changé de vie. C'est une histoire de mission de vie, même que Cathy a et justement, est ce que tu peux nous raconter. Quelle est justement cette mission de vie que tu es actuellement en train d'accomplir?

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Tout d'abord, merci beaucoup pour l'invitation et puis le fait de me mettre à l'aise comme tu l'as fait. Merci beaucoup déjà pour ça. Alors, pour se parler effectivement de ce que je propose, je prendre le temps parce que c'est vrai que quand on est multi facettes, c'est toujours compliqué d'expliquer aux gens exactement ce que l'on fait. Donc, en fait, je suis animatrice et formative et formatrice. Donc on en atelier créatif en art. Thérapie. D'accord et dans les neurosciences. Donc, mon but, en fait, c'est d'accompagner les femmes qui ont des parcours de vie difficiles qui ont des peur, des blocages et qui n'arrivent pas à atteindre leurs objectifs ou en tout cas qui souhaitent aller vers la vie dont elles rêvent, dont elles souhaitent donc justement par rapport à la mise en place de formations, la mise en place d'ateliers thématiques dont j'ai parlé d'arts créatifs tout à l'heure. Donc, j'utilise surtout le biais de l'écriture, le théâtre, le dessin, la peinture sculpture linogravures. Pour permettre à ces femmes là de s'exprimer, d'exprimer leurs difficultés, d'exprimer leur peur, d'expliquer leurs ressentiments ou même d'exprimer simplement le parcours de vie qu'elles ont. Et à partir de ça, je mets en place des formations pour pouvoir les accompagner. Thématiques par thématiques, étapes par étapes pour atteindre la vie qui leur correspondra mieux et qu'elles arrêtent justement de subir le rôle qu'on leur a donné de subir une vie qui ne leur correspond pas. Voilà donc animatrice un atelier d'art créatif, art, thérapie formatrice en développement personnel, bien être santé mental et depuis peu. Comme je suis vraiment passionné par les neurosciences et je parlerai de ça tout à l'heure parce que c'est ça qui a créé un déclic chez moi. Je suis aussi actuellement en train de suivre une formation pour devenir thérapeute touristique basée sur les neurosciences, pour faire en sorte que mes accompagnements sont encore plus percutants et beaucoup plus efficaces que ce que je peux proposer pour le moment. Voilà globalement pour mon parcours et ce que je propose actuellement.

tarik---jem-_1_04-12-2025_093739:

Et ce parcours. En fait, c'est devenu vraiment une ni son vie pour soi, parce que la transformation que tu apport, c'est quelque part, c'est celle que tu as vécu toi même.

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Tout à fait. En fait, concrètement, j'ai créé ce que je n'arrivais pas à trouver moi même tout simplement j'entrerais dans les détails plus tard, mais en fait, cette. Mission de vie. Elle a toujours été là. J'ai toujours aidé les gens. J'ai toujours accompagné les gens. J'ai toujours eu cette empathie ultra développée qui fait que je me suis toujours dirigé vers les gens qui souffraient. Tu vois les gens qui étaient en difficulté, je me reconnaissais en eux. Je me suis toujours attaché à ces personnes là et dans tout mon entourage dans tout mon parcours, j'ai toujours eu cette personnalité qui fait que j'étais toujours là. Pour accompagner, mettre en lumière d'autres personnes, quels que soient les métiers que j'ai pu faire, puisque j'ai commencé dans secrétariat médical. Donc ça n'a rien à voir avec ce que je fais aujourd'hui. J'ai travaillé en tant que journaliste et là, c'est pareil puisque j'ai travaillé pour la télévision pour la presse, mais mon bus était de mettre en avant des personnes lambda qui devaient présenter leurs projets qui devaient présenter leurs talents en fait, des gens que qui n'étaient pas du tout dans la lumière. Et moi, je mettais leur savoir foi en lumière, je les faisais connaître. Je les accompagner vraiment pour qu'ils se fasse se fasse découvrir par d'autres personnes par le plus grand nombre. Tu vois? Donc, même dans mon parcours, même dans des métiers différents, il y a toujours eu ce côté là ou il y avait l'entraide, la mise en lumière de quelqu'un propulser quelqu'un à être lui et à se montrer. Donc ça a toujours été là. Cette vocation, c'est jusqu'au départ. Je le subais ça, je prendrais le temps de le dire. Je le subissait de la mauvaise manière puisqu'en fait, c'est moi que je détruisais pour pouvoir épauler d'autres personnes pour pouvoir aider d'autres personnes à briller. Donc je ne faisais pas de la bonne manière. Et au fil du temps, par rapport à mon parcours, j'ai fini par avoir un déclic à ce moment là pour dire, mais Kat a toujours fait ça. Mais tu l'as pas fait de la bonne manière et surtout, tu n'as pas utilisé toutes tes forces, toutes tes compétences. Tu n'as pas tout rassembler pour trouver la manière unique d'aider ces personnes là. Et en fait, c'est une fin d'année dernière quand j'ai traversé un burn out monumental mais qui s'est transformé en dépression. Et en fait, je me rendais même pas compte ce que j'étais tellement au ta, tellement en train de m'obliger. Tu vois tellement à avancer malgré toutes les douleurs, toutes les difficultés que quand je me suis retrouvé à terre. J'ai rencontré la bonne personne à ce moment là. Et c'est cette personne là, j'en parlerai plus tard qui m'a créé un des clic de fou. Et je me suis dit mais Cathy, c'est ça que tu veux faire. Tu as toujours voulu faire ça, sauf que tu es parti dans tous les sens. Mais le fait de partir dans tous les sens était la bonne chose aussi parce qu'aujourd'hui le fait d'avoir tâté différents métiers, d'avoir exploré différentes facettes, d'avoir été artiste aussi parce que c'est ce qui fait ma force aujourd'hui. Mais fait que je me suis dit comment tu peux regrouper tout ça. Pour pouvoir proposer une méthode. Et c'est la méthode cré à ligne qui va pouvoir aider les personnes qui vont se reconnaître en toi parce que, comme je te dis ce que j'ai créé, c'est ce que je n'ai pas trouvé au moment ou j'étais au fond du trou. J'ai testé les psychiat, les psychologues et tout ce que tu veux, sauf prologue hyp thérapeute. Je ne dis pas que ça fonctionne pas, mais mon problème, c'est. C'est que ça m'aidait sur des détails, pas pas en profondeur, ça revenait pas à la source de tout. Tu vois? Et quand j'ai trouvé une thérapeute qui elle m'a montré comment revenir à la source de tout, j'ai fait au Québec Banco. Tu m'as sorti de là. Eh, ce que tu as fait pour moi, c'est exactement ce que je faire pour les autres, mais à ma manière. Et c'est comme ça que ma mission de vie s'est développée. Donc j'y travaille encore parce que moi même ça me provoque beaucoup de changements, beaucoup d'évolution, mais c'est vraiment ce que je vais apporter aux gens, ce parcours de villa que j'ai eu alors que je t'assure que quand je vais te raconter ça. J'étais une enfant très mal barrée. Je suis né dans les mauvaises conditions. Tout. Tout était aligné pour que je m'en sorte pas. J'étais vraiment condamné dès le départ. Des gens comme ça. Ils sont nés sur une mauvaise étoile ou toute leur vie est difficile. Tu vois tout est chaotique, tout est tout est là pour que tu restes à terre et que tu n'ai aucune vie. Et c'est exactement ce qui m'a arrivé arrivé. Et malgré ça, j'ai une résilience incroyable et ça m'a permis d'être là devant toi aujourd'hui. Et ça m'a permis justement depuis janvier, de dire, ok. Je sais maintenant ce qu'il faut faire et tout ce que j'ai enduré là, je vais le rendre utile. Et je vais pouvoir accompagner les personnes parce que j'ai enduré les mêmes choses. Je ne suis pas là en train de parler pour parler, c'est que je l'ai vécu aussi. Et ça, je pense que c'est ma plus grande force. Et c'est encore plus puissant que tous les diplômes, toutes les formations que j'ai pu faire, qui sont ma plus qui m'apporte de la technicité, ok. Mais pour moi, ma vraie force, c'est que j'ai tellement enduré. Je me suis écroulé tellement de fois. J'étais tellement condamné à jamais m'en sortir. Que le fait d'être là aujourd'hui et je me sens plus forte que jamais, mais c'est exactement ce que je veux apporter aux autres femmes leur dire que ce n'est pas la fin. Même quand tu penses que c'est fini, ce n'est pas la fin. Au contraire, on va reprendre tout à zéro et tu vas avoir que tu as beaucoup plus de force en toi que tu ne le pense.

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C'est vraiment, comme tu le dis, un message d'espoir très fort et d'audace, comme tu me l'as dit également et de transformation étant est vraiment la preuve aujourd'hui.

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Suis mon meilleur exemple. C'est ce que j'aime dire. Je dire j'aurais bon parlé de tout ce que tu veux. Je suis mon meilleur exemple parce que tout ce que je dis, je l'incarne au quotidien. Quand je dis qu'on peut rechuter que ça peut être difficile, qu'on a des moments imprévus. C'est parce ce que je l'ai vécu. Tu vois, je parle toujours de ce que j'ai vécu, de ce que j'ai vu autour de moi, de ce que j'ai pu percevoir chez les gens. Il n'y a rien qui a inventé tu, il n'y a rien qui uniquement de la théorie. Tout ce que je dis, c'est de la pratique au quotidien que j'ai pu voir constater. Et c'est vraiment ça que je veux faire comprendre. Aux gens et qu'on sortee justement de cette idée que le changement est facile, que ce qu'on veut atteindre est facile et que c'est fait en indiqu que c'est faux. Ce n'est pas comme ça que ça fonctionne. Et si tant est pas prête à comprendre que le parcours peut être très dur, il n'ira nulle part

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C'est un chemin transformation qu'il faut apprécier

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à fait.

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Et reprendre le contrôle, justement pour toutes ces personnes comme toi qui étaient au fond à ces moments là, tu peut être eu des périodes de découragement d'envie de tout abandonner.

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Ah oui, mais j'ai même pensé mettre fin à mes jours à plusieurs reprises déjà, quand j'étais ado, je reviendrai là dessus ou je me dis mais c'est plus possible. Je ne peux plus continuer comme ça. En fait, si je me flingue, ce sera mieux. Tu vois? Et aussi quand j'ai fait mon burn out de dépression, ce ne serait pas pour mes enfants. Je n'aurais pas tenu parce que je me dis que je subis. J'ai tellement prisonnière de beaucoup de choses que je me dis. Je ne peux pas finir mes jours dans des conditions comme ça que si je prenais la décision de tout stopper. Je serais soulagé. Tu vois, je ne l'ai pas fait. Heureusement parce que déjà je tiens à mes enfants et malgré tout, je tiens à la vie parce que je suis consciente que la vie peut très belle. Mais justement, c'est moi qui n'avais pas la bonne manière de voir. Je n'avais pas la bonne manière d'avancer. Et j'avais tellement appris à me détruire pour les autres que je n'arrivais pas à fonctionner autrement. Et heureusement, j'ai pu ouvrir les yeux, apprendre à visualiser autrement avoir la vie comme elle est, ce n'est pas comme un combat quotidien. Mais c'est juste qu'il faut prendre le temps de trouver ta place, trouver qui tu es trouvé ta mission de vie, trouver ce qui te correspond parce qu'on te dict parce que oui, les réseaux sociaux, ils veulent te vendre des vies parfaites. Oui. Si tu veux réussir, il faut que tu tu es une villa de luxe. Il faut que tu aies plein d'argent. Oui, il faut que tu sois fort. Il faut que tu sois belle toutes ces choses superficielles là ou tu te focalise tellement là dessus. Comme si c'était l'unique voie à suivre. Mais c'est peut être pas la tienne tout simplement. Et le bus, c'est ça, c'est de dire ok, le but n'est pas que tu te calme. Ce qu'on te dicte, c'est ce que la société te demande sur l'idée que tu te fais de la réussite. Le bus est de trouver ce que toi. Tu veux ce que tu cherches pour ta vie et si c'est vivre au fond au fin fond d'une cabane dans les bois à peine des tableaux et puis vivre dans la simplicité. C'est une réussite. Et c'est ça que j'ai besoin de faire comprendre nos gens parce que moi aussi, j'ai couru vers cette réussite que l'on voyait partout, qu'on nous manque alors et qu'on nous vend.

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matériel,

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Voilà, c'est bien plus que ça. Et moi je ne le comprenais pas non plus moi, je me battais dans une réussite uniquement financière uniquement d'apparence uniquement en fait, tout ce qu'on nous vend. Tu vois, j'étais tellement focalisé là dessus que quand j'y arrivais pas, je pensais vraiment que j'étais dans un échec permanent alors que ma place était simplement. Ailleurs. Je ne dis pas que l'argent n'est pas bien ce que l'argent permet d'obtenir ce que l'on souhaite, mais il ne faut pas qu'on en devienne esclave. Il ne faut pas que ce soit un unique objectif. Il ne faut pas qu'on l'utilise un mauvais ici. Tu vois? Et si c'est là dedans, j'étais aussi piégé très, très, très longtemps. Ça a été difficile de sortir de ces apparences là et dans dans ce message d sud que l'on que l'on nous diffuse constamment et c'est peut être pas ce que l'on souhaite pour nous mêmes. Et ça, ça faut le trouver.

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Et tu as abordé la place de l'art, justement dans cette transformation, comment l'art est arrivé dans ta vie en fait, à quel moment et, dans quelles circonstances

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rien que pour ça, faudrait quatre h pour que je t'explique.

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deuxième épisode.

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Je t'avoue je dis clairement les choses. L'arme m'a sauvé. L'art réellement m'a sauvé déjà. Je pense que dans ma famille, on a des armes d'artistes. Ça, c'est quelque chose que j'ai découvert sur tard puisque ma sœur, elle est artiste peintre. Ma maman a toujours été passionnée d'arts, même si elle n'a jamais pu appliquer mon père est musicien. Et voilà. Si je remonte dans les lignées, il y a toujours eu des artistes. Bon, ça fait de nous un petit peu les moutons noirs de la famille aussi, mais. Là a toujours existé au sein de ma famille. Et ça, je l'ai appris sur le tard, comment ça a commencé pour moi de façon très simple, ma maman allait m'acheter des livres à l'époque. C'était la bibliothèque que oui. J'ai 45 ans, je suis des années 80. Et à l'époque, on avait des

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Génération x

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Exactement. C'est exactement ça. À la belle époque, j'ai la nostalgie très souvent. Exactement. Et donc ma mère, elle m'achetait les les livres de la bibliothèque verde et de la bibliothèque rose et les malheurs de Sophie, tout ça. J'étais passionné par ces livres là, mais je n'aimais pas les fins, les faits, toujours os bonbons, tout ça et je m'amusais en fait, à chaque fois que je disais un bouquin comme ça. Je réécrivit la fin de l'histoire. Ça pouvait être triste, plus joyeux. En tout cas, ça sortait un petit peu de l'ordinaire et je lisais les fins des histoires à ma mère. Et c'est comme ça que j'ai découvert la passion de l'écriture parce que c'est comme ça que tout a commencé pour moi puisque je suis devenu écrivain de fiction après, j'ai découvert Nadine, mon fils fin king d co. Et sa se me sortait de mon quotidien qui était difficile. Tu vois ça? Ça me plongeait dans des histoires. Et j'arrêtais pas à d'écrire. Je réinventais en fait ma propre vie à travers ça et à l'école, quand on nous donnait des dissertations à faire, j'écrivais des dissertations de vaage. Tu vois, je n'arrêtais pas à d'écrire sur des feuilles sur des tables et l'art de l'écriture est venu à moi comme ça. Et pendant des années, je m'en suis pas soucié. Tu vois? J'écrivais comme ça, mais je ne pensais pas qu avait que j'avais un talon, une vocation, rien. Et puis, à un moment donné, j'ai commencé à écrire des fans, fictions, puisqu'à l'époque, je crois que j'avais 18, 19 ans. À l'époque, on écrivait des fans fiction pour les artistes. Et mes fact, mes fans de fiction ont cartonné cartonné parce que j n'écrivais pas les mêmes choses que les autres, soit tout le monde était dans les amourette avec les artistes, tout ça, moi, j'étais vraiment déjà dans l'introspection, dans des personnages déjà très travaillés. Et ça, ça a marqué les esprits. J'ai écrit mon premier recueil de nouvelles. C'étaient les enfants de l'ombre parce que à cette époque là, j'étais dans beaucoup d'obscurité des choses très tristes. Donc j'écrivais des choses qui me correspondaient. C'étaient des choses très, très, très, très violent, très tristes. Et j'ai vu qu' que j'avais un talent pour ça parce que les gens qui me lisaient étaient chamboulé à chaque fois. Tu vois, sauf qu'à cette époque là. Comme je le dis, j'étais très dans tout ce qui est fantastique, horreur, drame psychologique, des choses très glauques très violentes parce que c'était le reflet de ma propre vie. Je prendrais le temps de revenir sur mon enfance. Ce sera important, mais l'écriture est venue là et ça m'a libéré mine de rien. Ça peut sembler surprendre. Que quand on écrit des choses tristes violentes, on a l'impression que c'est toxique, non? Pour moi, ça a été extrêmement libérateur parce que ça m'a permis d'exprimer toute cette rage, toute cette colère, toute cette perdition que j'avais ensuite, comme mes filles sont nés, j'ai continué à écrire, mais de façon très différente. Là, j'ai écrit pour les enfants des choses plus lumineuses. J'ai écrit ma première biographie. C'est devenu plus. Oui plus plus, plus lumineux, plus joli, plus sympathique. La violence que j'avais en fait, comme je l'avais éliminé, j'avais pu envie de parler de ça. Je voulais aller vers la positivité ensuite, justement quand je te parle de livres pour enfants, j'ai eu cette frustration qui est que, mince, les illustrateurs qui bossent sur mes livres, ils sont talentueux, mais je n'aurais pas fait comme ça. Et je me suis dit Cathy, au lutte, te plaindre, dessine soi même en autodidacte totalement. Je ne savais même pas faire un rond, un trait, mais le jour où j'ai décidé de dessiner ça, cartonnait. J'ai tout de suite trouvé ma voix. J'ai trouvé mes petits personnages tout ça. J'ai commencé à à illustrer mes propres. J'ai même illustré pour d'autres artistes. Pour d'autres auteurs, j'ai utilisé illustrer des jeux de société. Tout ça. Le dessin est arrivé à moi. Je me suis formé malgré tout au centre d'arts plastique visuels de l'île. Et ensuite, après le dessin, c'est la peinture qui est venue parce que je voulais quelque chose d'un peu plus mature si tu veux, parce que l'illustration jeunesse me bloquer dans un monde enfantin. Et je voulais que ce monde enfantin là aille plutôt vers quelque chose d'un peu plus mature, même si je gardais ce côté enfantin et la peinture m'a fait découvrir un autre monde, beaucoup de personnes, j'ai pu exposer, j'ai pu intégrer des collectifs d'artistes et la peinture. Ça a été un révélateur aussi pour moi parce que ça me permettait d'exprimer tout ce que je ressentais. En un visuel, c'était différent de l'écriture. L'écriture, c'est tout. Un processus très long. Le tableau peut être long aussi, mais en un visuel. Tu voyais tout de suite ce que je voulais dire. Et je sais que mes tableaux ont marqué beaucoup de gens. Les gens s'arrêtaient sur mes tableaux. Ils réfléchissaient à ce que je voulais communiquer, à ce que je voulais dire. Et ça, ça m'a, ouais, ça m'a vraiment créé beaucoup de déclic. Donc tout ce parcours artistique là, c'est ce qui m'a maintenu en vie aussi. Parce que j'étais tellement passionné, tellement déterminé. Et je savais, j'ai compris que j'avais un talent pour ça. Tu vois que je me suis vraiment focalisé là dessus. Ensuite, j'ai découvert le théâtre et là ça m'a permis de m'exprimer encore autrement. Donc je suis même devenue animatrice d'atelier théâtre pour. Pour permettre aux personnes d'utiliser ça pour aller mieux. Et enfin, j'arrive au bout de parcours. Comme j'ai beaucoup travaillé avec des personnes en difficulté d'insertion, puisqu'en fait, comme je te l'ai dit, je suis animatrice d'atelier d'art créatif. Au départ, je travaillais beaucoup dans le monde du social, beaucoup dans le monde dans le domaine de l'insertion. Donc j'étais vraiment confronté à un public en difficulté personnelle, familiale professionnelle et ils utilisaient l'art pour avoir un mieux être sur le moment. Mais moi, ça me frustrait ça commence à me frustrer parce que oui, quand tu peux un tableau, ça te fait du bien. Quand tu crées un livre, ça te fait du bien quand tu extériorise à travers l'art, ça te fait du bien. Mais une fois que tu rentres chez toi, ça recommence. Tu vois? Et ça, j'avais besoin de trouver une solution. J'avais besoin de me dire je suis frustré parce que ces gens là vont tellement mal. Ces gens là sont tellement dans la douleur. Que de me dire que je leur fais du bien ponctuellement. Ce n'est pas suffisant. C'est là que j'ai découvert leur thérapie. Et là, ça m'a permis d'utiliser là réellement dans le domaine du développement personnel, du bien être pour utiliser l'art de façon plus approfondie, plus introspective, pour l'utiliser de manière différente. Le but n'était pas là d'apprendre la technique, mais le but là, c'est qu'importe ton niveau. Utilise l'art pour exprimer ce que tu en toi et le faire sortir. Là, j'ai commencé à obtenir des résultats beaucoup plus concluants et je me dis et sur un bon, tu es sur une bonne voie. Il y a quelque chose qui se passe, mais les résultats étaient très longs. Ça ne fonctionnait pas pour tout le monde et ça pouvait être sur la durée. Ça pouvait prendre un an deux en trois ans. Tu vois? Je le ressentais même pour moi même. Et je me disais déjà à cette époque là, j'ai besoin de quelque chose de plus pertinent à dire qu'au moment tu le fais. Tu sens déjà un changement? Tu ça te crée un déclic. Ça te crée un hyper percute. J'ai besoin de trouver quelque chose qui l'a. Ça te met un coup visage, mais un coup positif. Si tu te remets en question tout de suite et quand tu sors de l'atelier, tu dis wow, je ne sais pas ce qui s'est passé, mais ça me remet en question. Je ne sais pas. Il y a un truc qui se passe. C'est ça que je cherchais. Je voulais quelque chose de plus puissant que la thérapie. Et c'est là que j'ai découvert les neurosciences. Et ce le moment, je m'en intéressais pas trop parce que les neurosciences, c'est très scientifique. Tu vois, c'est beaucoup de d'explication. Beaucoup de théories. Ça me semblait très lourd à ce moment là. Je me suis dit c'est super intéressant, mais j'ai du mal à comprendre comment ça fonctionne. Donc j'ai mis de côté, mais j'ai quand même appris les neurosciences au fur et à mesure. Puis quand j'ai eu mon burn à haute, ma dépression là, tout a pris sens. Là, tout a pris sens là. Les neurosciences ont été un réel déc. Clic est ce que je te l'explique maintenant ou je prends le temps de revenir à mon parcours de vie.

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Parcours de vie et on reviendra

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alors j'ai eu un déc clic, je te dirais plus tard. Et c'est là que les neurosciences sont revenus très forte.

tarik---jem-_1_04-12-2025_093739:

on va un peu pour

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Oui.

tarik---jem-_1_04-12-2025_093739:

aller jusqu'au bout du podcast. On le garde pour après.

mci-formatrice_1_04-12-2025_103739:

on garde pour après. Je reviendrai là

tarik---jem-_1_04-12-2025_093739:

le déclic pour la fin.

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Ok, on fait comme ça. On fait comme ça. Il n'y a pas de problème. Alors du coup là, on va faire un bon dans le temps parce que je t'ai expliqué comment l'arme m'a sauvé effectivement, et je ne savais pas encore réellement comment utiliser tout ça. J'utilisais l'arc que pour l'aspect créatif réellement. Puis c'est devenu un peu plus vers le perçoit après et là, on va faire un bon dans le temps vraiment sur qui ce qui je suis mon parcours, parce que c'est ça réellement qui a tout changé. Je vais revenir à mon enfance. Et là, je dirais que j'avais tout tous été aligné pour que je m'en sorte pas. Je vais être très clair à ce sujet. Ma mère a décidé de m'avoir contre l'avis de toute sa famille et contre l'avis de mon propre père. Pourquoi? Parce qu'elle a perdu un enfant avant moi. Donc il y a eu ma sœur aînée d'abord qui est née d'un autre de notre de notre père. Donc ma demi sœur. Et puis elle a eu un deuxième enfant. Elle a fait une chute dans l'escalier et elle a perdu cet enfant. Daccord et cet enfant avait le même papa que moi. Elle n'a pas accepté. Et je comprends, elle a très, très mal vécu les choses. Donc elle a décidé d'avoir un autre enfant moi. Mais comme je l'ai dit, elle était totalement pas soutenue par la famille. Pourquoi? Parce que ma mère a toujours eu de gros problèmes de santé mentale et c'était très violent puisqu'elle faisait des séjours en alite psychiatrique qui pouvaient durer. Dis moi à cette époque là, on ne savait pas ce qui se passait. On indique peut être qu'elle était bipolaire, peut être qu'elle était schizophrène et je t'avouerai que jusqu'à présent, on n'a jamais su mettre de diagnostic très clair. En tout cas, elle faisait des crises de paranoïa des crises de violence. Elle avait des hallucinations. Elle pouvait être dans des folies, dans des folies furieuses, dans des violences extrêmes. Et puis dans des états de catatonie totale, c'est à dire qu'elle ne réagissait plus à rien. Elle ne comprenait plus ce qui se passait. Et donc forcément, la famille a dit tu ne peux pas avoir un deuxième enfant dans cet état, tu pourras pas t'en occuper. Et même le papa n'en veut pas, elle s'est obstinée. Elle m'a eu quand même forcément. Elle a dû m'éduquer toute seule. Voilà en tant que maman solo et tu imagines bien qu'un bébé qui naît dans ces conditions avec une maman qui a une santé mentale qui vae à dit qu'il faisait des séjours en Asie psychiatrique trois à quatre fois par an. J'étais très mal barré dans cette situation. En plus, je suis né en HLM. Je n'ai rien contre les HLM. Attention, d'accord. On peut y vivre. Très, très bien, d'accord, mais moi, je viens de Martinique. J'ai oublié de le préciser. J'ai vécu 19 ans à peu près. Dans mon HLM, j'étais aussi confronté à beaucoup de violence, de violence conjugale, de violence entre gangs. Et puis quand tu as un HLM, c'est difficile d'avoir une vie personnelle, une intime, parce qu'à cette époque là, tout le monde est au courant de tout ce qui se passe pour tout le monde. Tu vois, c'était des HLM de 19 étages de grands immeubles. Enfin, il y a des avantages à être à vivre en communauté. Il y a des inconvénients. Et donc je suis né un petit peu dans tout ça et j'ai très vite compris que je n'aurais pas d'enfance parce que ma mère n'était pas capable de s'occuper de moi tout simplement. Je veux dire, qu'importe la volonté qu'elle voulait y mettre ses problèmes mentaux l'empêchaient de m'éduquer, de me donner un chemin à suivre de m'appeler, j'ai vite compris que c'était à moi de m'en occuper très vite. Donc je devais gérer ces ces crises. Je devais gérer ces difficultés. Je devais, je me retrouvais toute seule à chaque fois qu'elle allait en Asie, psychiatrique et moi, j'étais complètement perdu là dedans parce que j'ai vite compris que ma seule vocation est la seule raison pour laquelle j'étais né. C'était pour m'occuper de ma mère. Mon rôle était d'être sa compagne. Voilà, c'est sa son, sa garde malade. Si tu veux la personne qui allait l'accompagner au quotidien, la personne qui devait rester avec elle tout le long de sa vie. Et donc moi, en tant qu'individu, j'existais pas, c'est à dire que que je réussisse à l'école ou pas tout le monde s'en fichait. Ça n'a aucun intérêt, pas de rêve, pas d'avenir, pas d'espoir parce que ton rôle. Et de t'occuper de ta mère pour pas que les autres et à le faire, tu vois et moi j'étais condamné à ne faire que ça. Donc c'était aussi difficile pour moi d'être une enfant, d'être une adolescente parce que je devais cacher ma situation. Tu sais, on a honte. On ne va pas se mentir quand tu dans une situation comme ça, tu te sens hors d? Normes, tu te sens différente des autres. Et en fait, tu use une énergie colossale. Pour ne pas que les gens comprennent ce que tu vis pour ne pas que les gens se rendent compte que ta mère ne peut pas s'occuper de toi parce que ma hantise à cette époque, c'était comme, comme on voit, je dire orphelinat, mais tu m'as compris, en tout cas, c'est qu'on me retire de ma mère et qu'on me place ailleurs parce que ma mère, je les mets quand même de tout de tout mon cœur. Et j'avais la hantise que quelqu'un découvre réellement ce qui se passe, contacte une institue sociale et ma vie aurait été détruite. Donc j'ai, j'ai utilisé combien d'énergie et de mensonges au quotidien. Pour pouvoir planquer ma situation. Donc moi, je n'avais pas le temps de vivre pour moi même. Tu vois? Et les choses ont commencé à se dégrader parce qu'il y a une période ou elle retombait malade tout le temps parce qu'on avait des périodes d'accalmie ou j'avais l'impression qu'on était à peu près une famille si tu veux et puis y a des périodes ou ça empirait ou elle venait de plus en plus violent. Je me faisais frapper. Voilà, je devais l'empêcher de sauter par le balcon. Elle se mettait à hurler et faisait des accidents de voiture. Elle achetait un tas de choses comme ça et qu'elle pouvait pas payer. Donc j'avais des huissiers devant la porte. J'étais qu'une adolescente, tu vois? C'est devenu catastrophique pour moi. Et je me dis, j'arrive plus. Je j'arrive plus à m'en sortir et je commence à avoir une colère monumentale en moi parce que je me sentais abandon par ma famille. Tu vois? J'ai l'impression que personne ne se souciait de ce que j'endurais et que il disait juste nous, tant qu'on n'a passé ce tant qu'on n'a pas ce problème là que se débrouille, tu vois? Et en parallèle de ça, ma mère, forcément, elle se mettait en difficulté avec les autres. Tu vois, elle avait coupé les poings avec sa propre famille. Donc ça me faisait couper les poings aussi. Donc, dans ce marasme là, J'ai eu une rébellion à 19 ans. Je me suis dit soit je meurs dans cette histoire. À dire je suis condamné à rester là et à ne rien faire de ma vie. Et je suis condamné à m'en occuper et je suis foutu, soit je m'enfuie je me suis enfui à 19 ans. Je suis parti en France, fausse métropolitaine. J'ai pris l'avion et c'est la pire décision de ma vie. Pourquoi? Parce qu'en fait, j'ai remplacé. Un problème par un autre. En fait, je suis parti en France pour rejoindre un homme avec qui je discutais par internet et qui me semblait la solution à tous mes problèmes, sauf que, malheureusement, pour moi, tu changes de pays. Tu connais personne, tu tu débarques, mais c'est un inconnu. En vérité, c'est parce que tu parles à quelqu'un sur internet que tu le connais. Et je suis tombé dans la dans une relation ultra violente. Ultra violente et j'étais piégé dans cette situation puisque j'avais tout quitté. Donc voilà, je suis tombé sur quelqu'un d'extrêmement toxique manipulateur. Et comme moi, je n'avais pas appris à vivre. Je n'avais pas appris à savoir qui je suis. J'ai été bloqué dans cette situation pendant un an. Et en fait, à un moment donné, j'ai cru mourir. C'est à dire qu'il me frappait tellement fort. Il était tellement violent. Il connaît la tête contre les murs. En fait, il y avait toujours une excuse pour me frapper qu'à un moment donné, je me suis évanoui. Et quand je suis sorti de ça, j'ai fait kiti si tu restes, tu vas mourir. Mais le truc, c'est qu'est ce que tu fais que si tu retournes chez toi, tu replonge autre chose encore. Qu'est ce que tu fais? Et au final, c'est le grand père de de mon conjoint à l'époque qui m'a dit, écoute, je te fais prendre la viande. Je te fais rentrer chez toi parce que si tu restes là, tu vas mourir. Donc il m'a fait rentrer chez moi et j'ai replongé dans la même dans le même catastrophe. Je me suis retrouvé dans la même situation que ma mère à nouveau piégée dans tout ça. Donc pareil, je jongler entre la relation toxique avec ma mère, les relations toxiques avec les hommes parce que je cherchais désespérément un homme pour me sortir de tout ça. Parce que je ne pensais pas capable de sortir de ça par moi même. Et forcément quand tu es vulnérable, qu'on peut manipuler facilement que tuer dans le dévouement total pour tout le monde. Les gens en profitent. Donc j'étais dans cette catastrophe là en permanence. Heureusement pour moi, au bout de quelques années, j'ai rencontré celui qui allait devenir mon mari avec qui j'ai pu avoir deux enfants, une relation beaucoup plus saine et je remercie la vie pour ça. Mais j'étais dans la dépendance quand même, c'est à dire que ma vie était calquée sur la sienne. J'étais son ombre, j'étais sa copie. Je faisais tout ce qu'il voulait que je fasse. Même s'il me soutenait dans mes projets là tu, c'est important. Mais ma vie en entière dépendait de lui. Tu vois? Et c'est là que je me suis du bout d'un moment mé katif faut que tu vives pour toi même. Alors oui, ça peut sembler fou de divorcer d'un homme avec qui on s'entend très bien, qui est son meilleur ami qui a qui a toujours été un soutien, mais moi, j'avais besoin de découvrir qui j'étais. Et là je suis rentré dans une autre face de ma vie catastrophique. Pourquoi j'ai jamais appris à être indépendante toute ma vie. Je me suis contenté de m'occuper des autres, que ce soit de ma mère, que ce soit de mes compagnons, que ce soit de mes enfants, ma vie était dédiée aux autres. Donc quand tu te retrouves confronté à toi même tu te rends compte que tu as quasiment pas fait d'études, en tout cas, pas suffisamment pour faire quelque chose que je t'as jamais appris à gérer ton quotidien tu n'as jamais appris à gérer ta propre vie. C'est une carnage. J'ai été perdu. J'étais complètement, j'arrivais, même plus à traverser la rue toute seule parce que j'avais vu tellement pour les autres que même me déplacer, je le faisais avec quelqu'un. Donc là, j'ai dû tout réapprendre à zéro toute seule. Et n'oubliez pas, je n'ai jamais eu d'éducation. Il n'y a pas eu d'éducation parentale, rien. Donc j'ai dû me battre toute seule pour tout reconstruire, pour trouver qui j'étais. C'est là que l'art a été ultra important parce que c'est ça qui m'a maintenu, qui m'a permis de prendre le temps de découvrir qui j'étais. J'ai cumulé quand même beaucoup d'erreurs parce qu'encore une fois quand tu sais pas qui tu es, tu continues de subir. Donc j'ai pris des des bouleaux salariés qui n'étaient vraiment pas bon pour moi. Je me suis retrouvé pareil dans des environnements toxiques parce que j'allais là ou on me disait d'aller, on me dit écoute, va travailler au samu va travailler en tox aux critère, va travailler dans les écoles. Moi, je faisais ce que ce qu'on me disait. Parce que je n'arrivais pas à avoir ma propre personnalité et à m'imposer ou quoi que ce soit. Donc j'ai subi énormément de toxicité dans le cadre du travail puisqu les gens repèrent quand tu es fragile, quand on peut te demander tout et n'importe quoi, quand on peut imposer toutes sortes de choses que tu n'as pas envie de faire parce que tu n'as jamais appris à dire non.

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On ne sait pas poser de limite

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voilà, j'enavais aucune limite. Ce qui m'a piégé encore plus, c'est que j'étais talentueuse. J'étais efficace. Je faisais mon boulot très vite. Je comprenais les choses très vite. Donc on me donnait toujours plus. Tu vois sans augmentation de salaire ni rien. On m'imposait juste toujours plus au point que souvent je me retrouvais sous directrice, mais j'étais la personne la moins payée de toute la boîte parce que j'osais rien dire tu vois tout ce que tu me demandes de faire. Je le fais, tu m'en rajoute, je le fais, je me ta et j'étais bloqué là dedans et je me détruisais à petit feu mon burn à route c'est là

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Et on se contente du strict minimum.

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Voilà tout à fait exactement. Et je vivais tout ça très mal en silence. En fait, j'étais en train de mourir à petit feu sans meen rendre compte jusqu'à ce qu'un matin. Et ça, ça m'arrivait en septembre de l'année dernière, mais mon burn out était déjà en train d'être déjà. Bien présent. C'est juste moi qui était dans le déni. Je ne voulais pas le voir. Tu vois j'endurais just en silence.

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puis c'est un cumul qui peut être dure depuis l'enfance

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bien sûr, bien sûr, puisqu'en fait, je ne fais qu't théoriser tout ce que j'ai enduré. En fait, j'étais en mode de survie. Je me questionne pas parce que mon but est de survivre quoi qu'il arrive, rester en vie et faire ce que je peux pour tenir bon. Donc en fait, je ne me poser pas de questions sur moi même ni sur mon mal être ni rien.

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C'est ce mot de survie. Une fuite en avant, en fait jusqu'au moment où le corps finit par lâcher.

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Et exactement et mon corps a lâché un matin, j'arrivais à un énième boulot où j'étais animatrice dans une école où on était un sous effectif. C'est à des conditions de travail catastrophique. J'arrive devant la barrière le matin et je m'effondre. Je me mets à pleurer et je me dis je ne peux plus continuer. À son mois. J'ai cru que c'était mon boulot seulement, mais en fait, non. Quand j'ai dit que je ne peux plus continuer, ce n'était pas juste ce boulot là. C'est tout ce que j'avais enduré depuis 44 ans. Et je me dis là, j'y arrive juste plus le mot de survie ne fonctionnait plus là. Mon corps m'a dit stop là dessus. Plus rien. Faire.

tarik---jem-_1_04-12-2025_093739:

44 ans, c'est énorme à supporter pour le corps, pour le mental, pour la psychologie.

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C'est énorme. Et là encore m'a dit, écoute, la faut que tu t'arrêtes làdessus. Tu peux juste plus rien faire. Et là, mon burn out a été monstrueux. Tout. Tout s'est écroulé. Tu vois si ça a été une catastrophe? Et c'est là que j'ai consulté toutes sortes de personnes parce que mon but était de survivre. Mon but était de rester en vie, de rester là pour mes enfants. Tu vois? Donc j'ai tout tenter. Des. Psychologue, même si quatre, ce que se sont demandé ce qu'il ne fallait pas des antidépresseurs. Tu vois, j'ai suivi des qu'on appelle ça des sens de sophrology hyppi. J'ai même fait médium taro. Tout ce qui peut exister. Alors oui, chaque petite chose me faisait du bien, mais ça ne me sortait pas de ma situation et un jour.

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traite finalement que le symptôme à toutes ces solutions là, malheureusement.

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Exact, ça traitait les symptômes, mais je sentais que le problème était beaucoup plus profond que ça et eux traitaient qu'en surface et en surface n'était pas suffisant. Tu vois, ça ne m'aidait en rien et je me sentais encore plus inutile. J'avais l'impression que j'étais fichu. Tu vois, il y a quand même quelque chose qui a commencé à m'aider, c'est quand je suis allé à l'association, les burnet qui aident qui accompagnent les femmes victimes de burn out, parce que c'est là que j'ai compris comment le burn out fonctionnait. Rien que de comprendre comment le burn out fonctionne. Et comment ça a pu devenir une dépression. Ça m'a déjà dé, culpabilisé, parce que moi, je pensais que tout était de ma faute que c'est moi qui qui fais pas ce qu'il faut et que je mérite tout ce qui m'arrive. Donc déjà, ça m'a dit culpabilisé, mais ce n'était pas suffisant. Et là, totalement par hasard. Et je remercie l'algorithme Facebook. Il y avait une thérapeute holistique qui, je pensais, se basait sur les neurosciences qui a fait un poste dans un groupe Facebook et qui a dit. Je recherche des personnes pour m'aider à valider mon diplôme. Voilà parce qu' voulait de devenir thérapeute dans le domaine des neurosciences et le but, c'est de vous accompagner en visio sur vos problématiques et de voir comment je peux vous aider. Et en fait, ces visio là lui permettait de valider son diplôme de thérapeute. Moi j n'avais plus rien à perdre. J'ai vu son message, j'ai fait écoute ou pont en est, vas y. Puis quand elle a dit neurosciences, ça m'a parlé parce que, comme je te disais, je m'y intéressais déjà, mais. C'était encore encore très flou. Je n'arrivais pas encore à utiliser çaient

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Alors pour la chronologie, c'est en cas de

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Alors ça c'était en septembre en octobre 2000 24. Tu vois? C'est récent, comme je le dis quand on est très vite, donc je lui ai parlé en visio et cette femme au départ m'a énervé. Elle m'a mis en colère parce qu'elle m'a balancé au visage. Tout ce que j'avais besoin d'entendre et ça a été d'une violence monumentale. J'ai cru que j n'allais jamais plus jamais lui adresser la parole parce que dès le départ et m'a dit ok, tu te plains que rien ne va parce que les gens sont méchants. Les gens t'ont fait du mal. J'entends mais qu'elle est ta part de responsabilité dans tout ça. Qu'est ce que tu aurais dû faire et que tu n'as pas fait? Et là ça m'a bousillé. Je me dis mais elle se moque de moi ou quoi je suis victime. Je suis victime de la société. Je suis victime de la vie. Je suis victime des gens et elle me dit que je suis responsable de tout ça. Mais j'étais dans une colère monstrueuse. J'ai que j'allais l'insulter. Ça m'a pris un temps fou pour essayer de comprendre ce qu'elle essaye de de me dire. Et elle a assisté, questionner, questionnée à chaque fois sur qu'est ce que tu aurais pu faire et que tu n'as pas fait. Et même sur un exemple très simple, tu me dis que tu ne peux pas faire telle formation parce qu'on ne veut pas de les instituts ne veulent pas te financer. Mais pourquoi ça t'arrête? Pourquoi ça bloque? Pourquoi ça te donne une excuse pour ne jamais rien faire. Et là, je me dis wow, attends là. J'ai commencé à réfléchir en disant mais j'avoue que je suis dans la négativité tout le temps parce que j'avais en victime constamment. En fait, je me contente de me dire que si rien qui fonctionne, c'est parce que le monde est méchant. Ok, mais qu'est ce que toi tu as fait pour changer ça? Rien d'accepter en silence ta as subi ta rampé et tu t, tu t'es comporté comme la nana qui méritait tout ce qu'on lui disait. Et c'est là que ça m'a créé un déclic monumental. Et c'est là qu'elle m'a donné des méthodes pour reprogrammer mon fonctionnement, agir différemment et c'est aller hyper vite. Et ça a été tellement fulgurant comme une fusée. J'ai fait écoute, c'est quoi tu m'as sauvé. Tu m'as sorti de là en quatre visio en quatre visio et ma sortie du burn out de la dépression. Mais surtout, elle m'a permis de comprendre que tout ce que j'avais fait jusqu'alors n'a jamais été vain, mais je n'utilise pas de la bonne manière.

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Elle t'a permis de reprendre ton pouvoir. En fait.

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exactement et ça a été wow, je me suis dit mais Cathy, tu te tre pas compte quand les gens te disent que t'es instable, que oui, tu fais trop de choses en même temps que tu es polyvalente multi facettes ou mais t'es pas cadré tous les trucs là. On ne voit pas ou ça, m. Fait si. Tout ça était utile, mais je le voyais pas. Tu vois, j'arrivais pas à utiliser mes talents, toutes ces choses là, tout ce cheminement là qui était utile. Je ne savais pas quoi en faire. Tu vois? Je ne faisais que subir subir et j'étais talentueuse pour rien. Tu vois? Et c'est là que ça a été très vite. J'ai fait ok, là les neurosciences, faut que je m'en soucie là. Je me suis formé comme une folle parce ce que j'étais passionné. J'étais à fond, j'étais dans toutes les masterclasses dans toutes les formations. Mais je cherche encore la méthode qui allait me correspondre. C'est là que j'ai découvert l'institut hit tir. Je remercie gennaro. J'ai suivi ses master class à fond. Et là ce dont il parlait, c'est exactement ce que la thérapeute avait fait avec moi. En fait, tu vois? Et c'est là que je suis devenu élève de cette formation, la formation hit tir. Donc je souhaite devenir thérapeute aussi. Et je me suis dit ok, Cathy, tu tiens quelque chose là. Mais qu'est ce que tu peux mettre en place pour que tout ton parcours est un sens? Parce que thérapeute de thérapeute, ça fait partie d'une facette, mais ce n'est pas totalement moi parce que je suis animatrice, je suis formatrice et l'art reste hyper important pour moi. Et c'est là que j'ai pris le temps de créer cette formation. La méthode crée en ligne. C'est là que je l'ai mis en place et je me suis dit ok, dans ton parcours, qu'est ce qui a aidé? C'est de t'exprimer par le biais de l'art, par le biais de l'écriture. Extérioriser tout ça, mettre sur tes mots ton, ma lettre. Ok, ça à travers la peinture, tu as pu mettre un visuel, ce qui allait ce qui n'allait pas dès tu. Regardes tes tableaux, tes s et dessins. Ça te parle tout de suite. Ça te rappelle ça te percute. Ok? Le théâtre permet de te mettre dans un rôle de la personne que tu veux venir pour t'entraîner là dessus, pour t'exprimer là dessus. Comment tu peux utiliser tout ça? Sur un parcours clair, précis, efficace, rapide pour aider les autres femmes. Et c'est là que j'ai mis en place la méthode cré Aline en janvier 2000 24 ou effectivement, j'ai mis en place six modules de formation au départ. Chaque module te donne une thématique précise, une introspection sous toi même. Qu'est ce qui fonctionne? Qu'est ce qui n'a pas fonctionné? Pourquoi réfléchir? Raison. Tu vois la deuxième étape, c'est maintenant que tu sais ce qui va, ce qui ne va pas. Comment tu peux appliquer tout ça pour aller vers un chemin qui correspond mieux. En fait, c'est ça. J'ai vraiment mis en place une méthode pratique ou chaque module. Chaque thème amène un changement en toi et à côté de ça, j'accompagne par le biais d'atelier thématique par le biais de l'accompagnement en coaching one to one ou un collectif, parce que je suis consciente que ça suffira, peut être pas, et ça que je répète tout le temps, tout dépend du degré. Ou de tes difficultés. Par exemple, moi, j'ai vraiment sombré. J'ai sombré totalement parce que, comme je te l'expliquait, c'est ma vie de famille qui n'all pas. C'est mon enfant, ce qui n'allait pas. J'avais un paquet de trauma, de peur, de blocage en pagaille. C'est sûr que pour quelqu'un comme moi, juste travail ce soir, ça ne va pas suffire. Il y aura des rechutes. Il y aura des galères. Il y aura des mauvaises décisions. Et mon but, c'est justement de dire cette vérité là aux gens. Ce n'est pas ce que tu décides de changer. Que tu vas changer, ça fonctionne pas comme ça. Ce n'est pas parce que tu planifie des to distes que tu appliques ceci, cela que ça va fonctionner, non, il faut un réel processus et il faut que tu acceptes qui y ait des rechutes. Il faut que tu acceptes que tu prennes des décisions qui ne soient pas la bonne. Et pire, il faut que tu acceptes qu'il y ait un chaos total dans ta vie. Parce que c'est ce que j'ai traversé en janvier. Quand j'ai décidé de mettre en place cette formation, j'ai appliqué aussi les changements en moi. J'ai suivi le processus et tout ça. Et je me suis pris une rafale destructrice mais qui était nécessaire. Pourquoi. J'étais en couple depuis presque un an. Un couple, ça se passait bien, mais j'étais encore dans le sacrifice. Tu vois, j'étais encore dans, il faut que tu fasses ça pour la personne. Il faut que tu sois comme ça. Il faut que tu corresponde à à ce qu'il veut. Il faut que tu fasse ce qu'il dis. Si tu veux que ça fonctionne, il faut que tu te mette à son même niveau. Il faut que tu réfléchisse comme lui. Bref, ça commencé à m'asphyxier. C'était une bonne personne, mais ça m'asphyxier. Quand j'ai commencé à changer, j'ai rompu. J'ai démissionné du boulot que j'avais. Je me suis perdu à nouveau parce qu'en fait, il y avait une espèce d'effondrement qui s'est passé dans ma vie. Il y a beaucoup de choses qui se cassaient, la figure des objectifs que je n'arrivais pas à mettre en place parce que je n'étais toujours pas aligné. En fait, je faisais toujours pas ce qu'il fallait et il fallait que des choses soient détruites pour être construites et y a une métaphore que j'aime beaucoup. Et qui est tellement vrai, tout rabot embellir ta maison tout rabeau l'a décoré la repeindre, celle elle est construite sous des fondations mer dick pas stables, pas solide il n'y a rien qui va se faire. Tout aura beau l'embellir tout ce que tu veux, elle s'écroulera tôt ou tard. C'est ce qui s'est passé pour moi, c'est que malgré tout ce que toute la bonne volonté, toutes mes idées, tous mes talents et tout ce que tu veux, il fallait que ça se détruise. D'abord, il fallait que je m'écroule. Il fallait que beaucoup de choses s'effondrent pour revenir à moi même, revenir à la base et pour me recentrer et pour dire ok, maintenant t'es revenu à zéro et que c'est le carnage, c'est la galère. Maintenant qu'il faut remonter, il faut que tu remontes de la bonne manière. Et cette fois. Faut que tu agissent selon ce que toi tu veux et parce que les autres te demandent t'impose ou ce que la vie in incite à faire. Et ça, ça peut être extrêmement dur. Et c'est ça que les gens ne veulent pas affronter. Ils préfèrent être dans le déni ou de prendre des méthodes faciles au lieu de travailler la fondation en elle même et accepter que peut être tu vas devoir passer par l'effondrement, tout reconstruire et renoncer à tout ce que tu as. Parce que si tout ce que tu as mais ne te convient pas. Il faut oser détruire. Et ça, les gens veulent pas l'entendre. Et c'est ça,

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Exactement. C'est cette phase de chaos qui fait peur.

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on.

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Et la majorité préfère rester prisonnier de cette petite zone de sécurité que d'oser aller dans ce chaos pour faire sortir quelque chose de plus grand.

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Et c'est ça. Et c'est pour ça que je bataille énormément. Et les réseaux sociaux sont aussi un piège illusoire parce que forcément quand on adopte qui te disent, je vais t'aider aller en une semaine en deux semaines. Je ne sais pas aller. Je vais changer ta vie comme ça ou aller en 24 h 48 h moi ça m'exaspère parce que je suis consciente que réellement quand ta problématique est très lourde, tes peurs, tes blocages sont liés à ton enfance, ton adolescence et tout ce que tu veux. En tout cas, c'est très ancré et tu as vraiment des habitudes et des comportements qui te mettent dans le mal. Ça ne peut pas se passer en 24 48 h parce qu'il faut vraiment taille au fond des choses. Il faut que tu affrontes beaucoup de choses, des choses qui sont qui peuvent être très douloureuses, qui peuvent faire très mal. Il faut peut être même que tu prennes des décisions qui vont te mettre dans une situation difficile sur le moment. Tout ça prend du temps et les gens ne veulent pas prendre le temps. Ils veulent

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Et

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suite, sauf que le tout tout de suite te piège dans encore autre chose dans des désillusions pas possible. Et c'est là que tu coincé. Et tu préfères rester dans la sécurité, dans le confort ou dans une vie qui te convient pas parce que bon, au moins, écoute, au moins je suis là et ça passe. Oui, mais t'es pas là pour que ça passe? T'es pas là pour que bon écoute mon loyer, il est payé. Mes factures sont payées. Ok, mon mari, ça ne va pas. Mais bon, il s'occupe de de moi. Non. Le but, c'est que tu, tu es réellement la vie que tu mérites la vie que tu veux que tu souhaites avoir la vie qui te ressemble. Et pour ça, il faut tout détruire

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ta mission de vie qui est toujours en cours puisque ça dure toute la vie justement,

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tout à fait tout à fait.

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ça a été un processus long et que cette mission dit finalement tu ne l'as pas, t'es pas allé la chercher. Tu ne l'as pas trouvé. Mais vous vous êtes rencontré. C'est elle qui a chercher quelques pas.

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Tout à fait tout à fait, le chement a toujours été là, c, comme je te l'ai dit au début, effectivement, j'aurais dû en parler aussi. Mais je pense que tu l'as compris, le fait de d'aider les autres ça a toujours été là. Depuis l'enfance, cette notion d'accompagnement d'aide a toujours existé, je me sacrifiait pour pouvoir aider les autres que c'est moi que je détruisais pour permettre aux gens d' li bien pour avoir une belle vie. Je faisais tout pour eux pour que ça se passe comme il fallait. Et même pour mes enfants, j'étais toujours dans le sacrifice qui est, je dois me détruire pour qu'elles aient elle mérite, sauf

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Tu as été responsabiliser très tôt, en fait, très jeune déjà avec ta maman.

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exact. Et.

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n'as pas eu, tu n'as pas eu une enfance quelque part aussi d'enfant.

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tout à fait. Et c'est pour ça justement que mon âme d'enfant. Je veux dire que si tu observes un petit peu mon art, mes écrits, c'est l'enfant, ce que j'ai jamais eu ce manifeste là, par exemple, quand j'écris des livres, je mes personnages sont toujours des enfants quand je dessine, quand je PES. Ce sont toujours des enfants. Et même quand je dessine des femmes, il y a ce côté très enfantin qui ressort parce que, justement comme je n'ai pas eu d'enfance, j'essaie de récupérer cette part de moi, même à travers mon art, tu vois? Et effectivement, je me suis dit cette notion d'aide a toujours été là, sauf que ce qu'on me racontait pour aider les autres que oui, il faut que tu te sacrifies. Oui, ton rôle, c'est d'être là pour les autres points. Je me suis dit écoute, c'est là que le mensonge se trouve. Tu peux aider les autres en continuer à grandir. On continua à t'occuper de toi

tarik---jem-_1_04-12-2025_093739:

Et.

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ont ton parcours pour aider les autres mais aider les les autres. Ça signifie pas que tu dois te détruire toi même. C'est cette notion là qu'il fallait que je comprenne. Et c'est pour ça que je suis tenu à cette notion d'aide d'accompagnement qu'a toujours été là, mais de façon plus pertinente, puis bienveillante envers moi même. Et plus efficace pertinente envers les autres, c'est à dire qu'on avance ensemble. Je change aussi. Je me transforme aussi. J'avance aussi. J'ai des rechutes aussi. J'ai des galères aussi, mais on va s'entraider. Je vais t'accompagner aussi. Mais le but, ce n'est pas que ce que tu me vas me raconter va me détruire. Je ne suis pas là pour me détruire pour t'aider. Je suis là pour qu'on avance ensemble qu'on progresse ensemble et tout ce que j'ai vécu puisse te servir aussi. Et tout ce que j'ai pu acquérir dans mon parcours, mes formations puisse te servir aussi. Donc c'est vraiment. Faire très attention à ça. C'est ok, tu es faite pour aider, mais attention ne retombe pas dans ce mensonge qui est qu'il faut que tu détruise pour ça. Au contraire,

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Et

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ce qui a détruit doit devenir ton booster ton moteur désormais et doit devenir utile. Et ce soit ça devienne ta force. Désormais, c'est ça, c'est plus la pot te détruire, mais que ça devienne une force et la chose qui va te différencier et celle qui va te rendre authentique et va t'amener à être efficace. Et pour les autres.

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tout à fait, c'est passé du sacrifice. Ou et tu la fait inconsciemment aux deux besoins d'ordre spirituel métaphysique qui sont se développer. Malgré malgré toutes les difficultés que tu as pu traverser, tu t'es développé

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C'est ça?

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et ensuite tu as passé à la phase contribution.

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Oui, très

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C'est le deuxième besoin d'ordre spirituel parce que c'est les deux besoins qui nous dépassent, qui sont d'ordre métaphysique. Et d'ailleurs, c'est le terme. C'est au dessus de l'univers matériel physique en trois dimensions dans lequel on vit et ces deux besoins là qui portent une mission de vie et qui, indirectement, font tomber les quatre autres besoins que tout humain a sur sa terre qui sont d'être aimé. De sentir signifiant de d'être dans l'incertitude, d'avoir de la variété dans sa vie à travers les expériences, les rencontres, les voyages, etc, etc. Et le besoin aussi de certitude et le premier besoin de certitude de tout humain, c'est ne pas souffrir pour aller vers le plaisir, la satisfaction, l'accomplissement de soi. C'est ce que tu réalises à travers cette mission de vie et ça à la portée de tout le monde.

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Mais c'est ça. C'est ce que je sais vraiment ce que je souhaite faire ressentir avant tout, parce que vraiment, je côtoie beaucoup trop de femmes qui se sentent esclaves de leur vie, que ce soit par leur éducation, par rapport au rôle qu'on leur a attribué par rapport à ce qu'on leur impose. Et elles se sentent prisonnières de tout ça en disant mais de façon, je pourrais jamais en sortir. Je suis

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Et qui sont en plus souvent dans la culpabilité de ne jamais en faire assez.

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Exactement. Et ça devient un cercle vicieux, une vie pesante et quand tu leur demandes, mais qu'est ce que tu veux faire pour toi même elles ne savent même pas parce qu'elles se sont jamais posé la question et sont juste là, justement dans cette espèce de mode de survie de, il faut, il faut, il faut, il faut, oui, mais ce n'est pas, il faut qu'est ce que toi tu veux pour toi même quelle vie tu veux avoir? Et là, ils sont dans un flou monumental. Et je me reconnais dans tout ça parce qu'on n'a jamais permis de te questionner. Tu n'as jamais pu te poser pour savoir ce que tu veux et tuas jamais osé te rebeller tu n'as jamais osé dire non, tu n'as jamais voulu te remettre en question. Tu es là dans un dans un schéma dans lequel on a'a bloqué et ça te cré une espèce de confort qui est ultra toxique

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et aussi d'être dans ce mode de survie. On est dans le brouillard très souvent, parce que mentalement, on est justement dans soit la fuite, soit le combat ou soit complètement i, figé immobilisé

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Et ça peut durer à vie. Je te l'ai dit, j'ai le flou. Je l'ai enduré 44 ans est ce que tu te rends compte que 44 ans dans une

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C'est la moitié d'une vie

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c'est ça. Et c'est pour te dire à quel point tu peux rester dans le flot, toute de ta vie, jamais en sortir. Et il te faut parfois encourage monumental pour dire ok, stop, j'en peux plus.

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Tu l'as eu justement le fameux déclic qu'on a évoqué tout à l'heure au début de l'épisode qu'avec sa thérapeute de neurosciences qui a a permis d'avoir ce déclic de te responsabiliser.

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Ça. Et ça, les gens n'aime pas entendre les gens.

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fait mal sur le coup

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Ah, ça m'a fait mal.

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Passer de victimes à responsable de son destin. C'est un chiffre énorme au

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assez. C'est rien que cette phrase est ultra violente en seront pas compte parce que quand tu agi en victimes, toute ta vie. C'est un confort à partir du moment, tu dis que rien n de ta faute que c'est les gens qui sont méchants. La société est mal faite que t'as aucune chance de t'en sortir, que tu es pasé sous la bonne étoile que tu es condamné. Tu te dis responsabilise de tout tu tu parce que c'est pas de ta faute. Tu es victime point et tu continues d'agir en victimes parce que de toute façon, tu es déjà conditionné à te dire que tout ce qui arrive, tu le mérite. Voilà, c'est tout. C'est comme ça et ce n'est pas ta faute et tu ne peux pas en sortir. Le monde est méchant. Ma partie du moment te dis prends te responsabilités. C'est d'une violence phénoménale. Là, tu dois te remettre en question là. Tu dois vraiment revenir au tout début de tout et te dire ok, qu'est ce que j'aurais pu faire autrement? Et oui, tu aurais pu agir autrement. Je ne suis pas en train de dire que je ne sais pas que si tu es victime d'agressions sexuelles, c'est ta faute. Attention, mélangeons pas tout.

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sûr, bien sûr.

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Eh oui, je ne pouvais voilà à cette époque là qu'est ce que tu voulais que je fasse? Donc, il ne faut pas rentrer dans un cycle de culpabilité et de prendre des responsabilités qui ne sont pas allés nôtre non plus. Les gens sont responsables de ce qui nous ont fait aussi. Metton nous bien, d'accord. Quand on te fait subir des choses, ok, tu es victime mais ne dédo pas l'autre. L'autre n'aurait jamais dû te faire endurer quoi que ce soit de tout ça.

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C'est ce qu'on en fait à l'âge adulte. En fait.

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maintenant ta responsabilité de te dire c'est est ce que tout ça. Tu vas laisser tout ça te détruire et te maintenir au sol et te dire que je suis victime. Et c'est comme ça et je m'en sortirai jamais ou tu dis ok, j'ai enduré tout ça. C'est injuste. Ça n'aurait jamais dû arriver. Et ça m'a broyé maintenant, qu'est ce que je vais en faire pour reprendre le dessus sur tout ça? Et c'est là que ta responsabilité se trouve. C'est apprendre à dire non lorsqu'il faut dire non. Te dire ok, il y a ça qui n'a pas marché, mais qu'est ce que je peux faire autrement pour y arriver quand même? D'accord, ou même on a aussi la responsabilité du lâcher prise ça sans comme notre débat, il y a des moments ou décidé de ne rien faire est une responsabilité qui peut aussi t'aider. Ça, c'est encore autre chose, mais toujours se dire. Comment je peux agir pour être, pour prendre un rôle actif dans ma vie et pas être dans la survie, continuer à subir, continuer à encaisser parce que je n'ai pas le choix. Si le choix tu l. Et c'est ça que j'ai besoin de faire comprendre. Et à partir du moment, tu prends le choix. Tu rentres dans des difficultés qui peuvent être très lourdes, mais ce n'est pas, ce n'est pas pour de piéger, ce n'est pas pour détruire encore plus.

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Et le et le choix implique une décision, c'est soit transformer son histoire en pouvoir ou soit la transformer en désespoir.

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Le désespoir peut ensevelir jusqu'à la fin tu peux décider que ce n'est pas ta fin. Ta ta vie va pas s'arrêter comme ça, elle et pas finie. Tu ne vas pas juste continuer comme ça jusqu'à ta mort. Non, il n'est jamais trop tard pour remonter. Il n'est jamais trop tard pour te dire que tu es capable. Il n'est jamais trop tard pour te dire que tu as beaucoup plus de force en toi que tu ne le crois. Tu es capable. Et même si tu dois traverser le chaos, que tout soit détruit pour tout reconstruire et même si tu dois prendre des décisions ultra douloureuses ou qui sont très effrayantes. Si c'est ça que tu dois traverser pour avoir enfin la vie de ce mérite. Fais le fais le et justement, il y a des experts qui sont là pour t'accompagner des praticiens qui sont là à accompagner. Et s'ils font réellement leur métier avec vocation, avec envie, avec volonté, ils vont pas CLR, ils vont t'accompagner. Tu seras pas seul. Mais ça, il faut la volonté vient d'abord de toi même. Il faut accepter que le chemin sera peut être plus compliqué que tu ne le penses. Ça peut être très facile pour d'autres. Je ne le dis pas le contraire. Des femmes qui peuvent s'en sortir très vite. Ça dépend de d'ou elles en sont et l'état de conscience qu'elles ont. Et pour d'autres, ça peut être beaucoup plus laborieux comme ça a été très laborieux pour moi. Mais j'ai vraiment que les gens comprennent que te souvient d'elle d'abord. Je dis elle parce que je m'occupe avant tout des femmes parce ce que c'est ce qui me représente le mieux. Mais pour moi, il faut d'abord avoir cette volonté de s'en sortir, se dire ok, qu'importe à quel point ça va être chaotique. Ça va être dur. Je vais pleurer. Je vais me retrouver à terre. Je vais prendre des décisions qui vont me laminer, mais fais le parce que justement, ce n'est pas dans le confort qu'on trouve. Ce qui nous convient, c'est dans l'insécurité, le lâcher prise, la perte de contrôle, accepter l'imprévu quand tu acceptes de traverser tout ça. Tu vois ce qui peut arriver à toi et ça peut être incroyable. Ça peut être incroyable, mais faut que tues la force de le faire. Il faut que tu la force de te dire peut être que je me retrouver à terre encore encore encore, mais soit à terre. C'est pas grave. Tu feras comme moi. Tu vas te relever, tu vas recommencer. Et s'il faut recommencer à zéro, tu recommences à zéro. Et c'est là que tu vas te rendre compte que après avoir gravi les l'est, quand t'es au sommet la vue, elle est magnifique. Et c'est ça, c'est ça que j'ai besoin de faire comprendre. Oui.

tarik---jem-_1_04-12-2025_093739:

Et là de l'ivresse du sommet, tu peux apprécier le chemin parcouru

mci-formatrice_1_04-12-2025_103739:

eh oui, oui, parce qu'on se dit toujours que oui, mais c'est trop dur. C'est trop difficile. C'est pas juste. Et sur le moment, tu le vis pas bien. C'est normal. On est des êtres humains. On n'a pas envie de souffrir. On n'a pas envie de galer. On n'a pas envie de se remettre en question. On n'a pas envie de redémarrer à zéro. On n'a pas envie de prendre des décisions douloureuses, mais c'est évident. Le confort est plus facile. Tu vois le confort? Nous endort, nous anesthésie là. On est là dans la facilité, mais c'est humain. Je vais jamais te reprocher ça, bien sûr que que c'est plus facile. Mais est ce que c'est ça que tu veux, non? Alors oui, le chemin va être dur sur le moment. Mais quand tu sera arrivé à ce que tu mérites, il tu aura regarder ton parcours. Tu vas dire wow, ça va aller la paix. Et c'est exactement ce que je me dis aujourd'hui. J'ai très mal vécu mon parcours. Ça m'a mis dans des colères monstrueuses. Oui, ça m'a mis dans des rage monumentales, dépression, bon à haute, tout ça. Mais je me dis mais CTI sans tout ça, tu serais pas ce que tu es aujourd'hui. Tu n'aurais pas la force là que tu arrives à mettre en place pour pouvoir avancer, pour pouvoir te relever. Tu aurait jamais été cette personne là si tu n'avais pas chuté 1000 fois. Alors chute. C'est pas grave. Chute. Et lorsque tu vas atteindre tout ce que tu mérites, tu vois que le parcours était finalement bien plus beau que tu ne pense

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Bravo à toi, en tout cas, katy d'avoir réussi à transformer ton histoire, même en superpouvoir, parce que maintenant c'est une mission de vie que tu es en train d'accomplir. Et pour justement, pouvoir le faire, ça demande énormément de courage

mci-formatrice_1_04-12-2025_103739:

C'est vrai fait du bien,

tarik---jem-_1_04-12-2025_093739:

Et en même temps, bien entendu, tu développes tout en contribuant aux autres. Et ça, c'est vraiment la plus belle réussite, au delà même de la réussite financière matériel que tout entrepreneur souhaite. C'est d'abord cette réussite là que qui compte parce que c'est elle qui dure

mci-formatrice_1_04-12-2025_103739:

on.

tarik---jem-_1_04-12-2025_093739:

dans le temps et qui peut même durer au delà de notre vie à travers la trace qu'on peut laisser un livre ou autre et jamais sous estimer la puissance, justement de ce genre de message de contenu qui peut sauver sans doute des vies.

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C'est une très, très belle conclusion et tu vois rien que ton de me dire, ça me fait du bien aussi. Tu vois en la même longueur d'onde. Et c'est pour ça qu'on a un très bel échange depuis le début et comme quoi les réseaux sociaux peuvent amener de très belles rencontres de très beaux échanges. Et moi, je suis ravi d'avoir participé à ton

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Également là. On arrive au bout comment ces jeunes femmes, ces femmes peuvent justement maintenant aller plus loin avec toi. Te suivre.

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Alors je suis sur quasiment tous les réseaux sociaux, je crois quasiment. Je vais commencer un seul. Oui, c'est Instagram. C'est là que j'interviens le plus puisque je propose des live. Voilà des vidéos. C'est peut être plus facile de me suivre là. Donc c'est mc formatrice, donc, mc tirer du huit si je me trompe pas ou c'est ça, tirer du huit mc comme marie-catherine HID mc. Tirer du huit formatrice. Donc n'hésitez pas à me rejoindre sur Instagram et depuis Instagram, vous ouvrirez aussi mon Facebook, mon site internet, tout ça. N'hésitez pas à me contacter si vous souhaitez en discuter et en savoir plus. On me retrouve aussi sur youtube là ou je peux me mieux m'exprimer sous la même appellation, m. Formatrice.

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Hâte. Le arobase et mc endor score, donc celui du huit formatrice. Merci beaucoup, katy. Ça a été vraiment un échange très, très riche. J'ai beaucoup appris une histoire vraiment incroyable, pleine de résilience, d'espoir, de transformations et que si tu as réussi à le faire, eh bien, toutes les femmes qui sont actuellement dans des situations très difficiles qui sont parfois au fond du trou au fond du gouffre qui ne croient même plus. Eh bien, c'est la preuve qu'il est possible. De sortir et même de créer des réussites incroyables. Et d'ailleurs, les plus belles réussites sont partie, parfois de ce même endroit de désespoir et on est la preuve. Donc suivez Katie sur Instagram et vous allez sans doute pouvoir transformer vos vies comme Katie l'a fait.

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Merci beaucoup pour ce magnifique mot de la fin be ou je te dis a très bientôt et merci encore pour ce magnifique échange qui m'a aussi fait beaucoup de bien.