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#47 Devrais tu préférer la peur de l'échec ou bien celle du succès ?

October 29, 2023 Tarik Jemlaoui
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#47 Devrais tu préférer la peur de l'échec ou bien celle du succès ?
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Devrais tu préférer la peur de l'échec ou bien celle du succès ? 

 Bienvenue les amis entrepreneurs, entrepreneures sur ces Lives quotidiens.  On n'en rate pas un seul dans cette série que j'ai appelé psycho réalité, car comme tu le sais maintenant, le métaphysique, le spirituel, méta veut dire au-dessus. Et physique, notre réalité physique est la preuve que l'univers, notre univers intérieur, spirituel, métaphysique, est au-dessus de la réalité et que tout part de là. Qu’on a le pouvoir quand on veut, de créer sa propre réalité et de ne plus être l'esclave des émotions, des pensées, des croyances qui nous paralysent, qui nous détruisent malheureusement pour beaucoup de personnes. 

 Et quand on reprend le contrôle sur cette machine, ce film qui tourne en boucle dans notre tête, ce film très souvent est toxique, paralysant, handicapant limitant. Et c'est la raison principale de nos échecs, de nos difficultés très souvent. Parce qu’on n'a aucun contrôle sur nos actions et sur les circonstances. Et ça, je pense que vous commencez à le saisir et qu’on a le pouvoir de reprendre le contrôle. On a le pouvoir d'inverser la machine et de créer une nouvelle perception sur notre passé, perception qui va générer de nouvelles pensées, de nouvelles émotions, donc de nouvelles décisions et actions. Et finalement, résultat. Et vous voyez que cette boucle de rétroaction, elle peut être aussi bien être destructrice que bénéfique, constructive. Tout dépend de ton pouvoir mental. 

 La majorité des entrepreneurs, des entrepreneures n'arrivent pas à réaliser leur vision entrepreneuriale malgré le travail, malgré les efforts, malgré très souvent la persévérance, qui dure parfois des années, mais ils n'arrivent pas à créer de résultats. C’est encore plus frustrant quand on fait des efforts, qu'on fait bien les choses, qu'on pense bien faire les choses et qu'on n'a pas de résultats. Ça a été le drame de ma vie, durant ma vie entière depuis même l'école, très jeune, je voulais absolument bien faire les choses, être sur la ligne, ne pas dépasser. Et très souvent, j'avais des résultats moyens, j'étais dans la moyenne malgré les efforts que je faisais.  Je n'arrivais pas en fait à maîtriser mes émotions. C'est vraiment la clé. Aujourd'hui, j'ai mis le doigt sur la racine du mal, alors que toute ma vie, j'étais dans le brouillard complet. Et que forcément, dans les moments d'épreuve, d'examen ou de choses comme ça, très souvent, j'avais cette paralysie.  Et ce qui fait que très souvent, je passais juste au niveau de la moyenne alors que j'avais très souvent les capacités puisqu’en cours je pouvais être parmi les meilleurs. Tout dépend encore une fois de mon état émotionnel. C’est la preuve que nos résultats dépendent de notre état mental et contrôler ses émotions. 

 Je reviens à la question de départ, devrais-tu préférer la peur de l'échec ou bien la peur de la réussite ? Parce que dans les moments fatidiques, c'est-à-dire dans les moments où il faut prendre une décision qui va impacter très souvent notre avenir, ça machine à l'intérieur et ça peut durer juste une fraction de seconde. On a une pensée basée sur une croyance, sur une référence, sur une expérience passée. Et cette pensée va générer fatalement une émotion, soit de peur de l'échec, donc de pas être à la hauteur et d'être jugé, d'avoir son estime de soi, son statut qui va baisser. C’est la peur viscérale de l'être humain, comme vous le savez dans la psychologie humaine, être rejeté par le groupe. Donc baisse de statut, ne pas être aimé et possibilité d'être rejeté par le groupe, donc nos proches, nos amis, et cetera et cetera.

 Et cette peur viscérale, très souvent fait que on va faire marche arrière. On va reculer dans ces moments décisifs et ça peut être aussi la peur de la réussite. Parce qu’inconsciemment, qui dit réussir cette fois-ci au lieu que le statut baisse pour la peur d'échouer. Cette fois-ci, c'est potentiellement soit avoir peur de ne pas être à la hauteur de cette réussite, ne pas avoir ce qu'il faut pour gérer cette réussite, ce succès matériel, financier ou autre. Et très souvent, la peur de ne pas être à la hauteur fait que on va reculer. Et comme vous le savez maintenant, toute réussite est avant une histoire de courage. Plus qu'une histoire de talent inné. Parce qu’on peut devenir bon par la répétition, par la modélisation d'un modèle, d'un mentor ou par l'autohypnose. Ces trois façons cumulées font qu’on peut devenir bon, très bon et même expert d'un sujet. Mais c'est un parcours long pour devenir excellent puisque ce qu'on vit, c'est non pas le perfectionnisme.

 La perfection n'existe pas sur cette terre. Mais en visant la perfection, on peut atteindre l'excellence. Et toute personne qui se donne les moyens peut atteindre l'excellence. Mais il faut accepter cette part d'échec puisque pour atteindre cette excellence, il faut passer par des étapes d'échec. Et d'échec en échec, on apprend, on monte en compétence. Et je ne sais plus qui avait dit qu’il avait échoué neuf cent quatre-vingt-dix-neuf fois avant de réussir la millième fois et que pour lui ce n’était pas des échecs, simplement un pas de plus vers la réussite, la solution de sa problématique, du problème qu'il voulait résoudre. Et donc vous voyez bien que ces deux peurs irrationnelles, celle d'avoir peur d'échouer et d'avoir peur de réussir et je termine sur la peur de réussite de réussir. Parce que derrière la peur de réussir, c'est monter en statut et potentiellement aussi inconsciemment, avoir peur d'être exclu du groupe puisque quand on réussit on a des standards différents ett ne plus avoir les standards du groupe dans lequel on est. Des standards à tout niveau, au niveau matériel, au niveau intellectuel, au niveau conversationnel, culturel, à plein de niveaux.

 Donc on peut inconsciemment avoir peur aussi d'être exclu du groupe ou de s'exclure soi-même du groupe de référence dans lequel on est. Et d'ailleurs on voit bien très souvent les personnes qui arrivent à atteindre des succès élevés dans le business se sont exclues ou s'excluent elles-mêmes de leur environnement pour ces raisons et vont vers des groupes qui ont les mêmes référentiels, les mêmes standards. Et ce n'est pas qu'une question d'argent, parce que très souvent, les personnes qui réussissent font du bien autour d'elles, dans leur environnement proche et souvent même, c'est les gens de ce groupe qui s'excluent elle-même. C'est des processus parfois inconscients. Elles se sentent dévalorisées, avec un sentiment de complexe d'infériorité de se voir par exemple tout le temps invité. On peut ressentir de la gêne d'être tout le temps invité pour la majorité des personnes et donc vont s'éloigner de cette personne.  C'est des processus inconscients qui se produisent et qui font qu’il y a ces mécanismes qui se déclenchent d'avoir peur d'échouer ou d'avoir peur de réussir pour les raisons que j'ai citées. Et le drame est qu’on recule, on ne fait même plus du surplace quand on n'a pas le courage de prendre une décision.

 Et fatalement, quand on n'a pas le courage de prendre une décision, on est à la merci des évènements, des circonstances, des personnes, parce que on n'a pas de cap sur la direction de notre vie, on n'a pas de gouvernail. Rappelez-vous de la référence que j'ai évoqué plusieurs fois, le livre psycho cybernétique du docteur Maltz que je vous conseille. Psycho, c'est l'esprit, le mental, le cerveau et cybernétique, dans la Grèce antique, car c'était en en grec, c'était le barreur, celui qui tenait la barre du bateau de l'embarcation. Psycho cybernétique veut dire alors que notre esprit est fait pour aller dans une direction. Et quand on n'avance pas dans une direction, on est à la merci des torrents et des cyclones, puisqu’on n'a pas de gouvernail et c'est une tragédie. Ça a été le drame de ma vie. 

 Je vous ai déjà parlé de cet évènement qui a signé une rupture dans ma vie. Il y en a eu plusieurs, je pourrais dire trois grands événements dans ma vie qui ont bouleversé mon destin. Le premier à l'âge de sept huit ans quand j'ai rejoint ma tante en France. J'ai quitté mes parents soudainement quand j'étais enfant. Pour moi, c'était juste un voyage de tourisme et que j'allais revenir quoi. Et du coup, ça a duré toute la vie. Et ça a été une rupture émotionnelle, un abandon émotionnel qui m'a fait beaucoup de mal. Et aujourd'hui j'en porte encore les traces et les conséquences. Le deuxième évènement bouleversant a été quand j'ai quitté ma tante avec qui j'ai grandi depuis l'âge de huit ans de manière aussi brutale après le bac, puisque je me suis retrouvé à la rue simplement pour une histoire familiale qui ne me concernait pas du tout. C'était entre elle et mes parents, je n’y étais absolument pour rien. Je n'étais ni d'un côté ni de l'autre. J'ignorais totalement cette histoire même. Et le troisième acte qui va bouleverser mon destin est à la fin de mes études supérieures, à l'école de commerce de Manchester, après la remise des diplômes. C'était au mois de juin, j’étais seul dans ma chambre d'étudiant, j'avais postulé à des jobs, comme tout le monde, et j'avais reçu un appel à ce moment. Je m'en souviens très bien comme si c'était hier. Et j'étais dans ma chambre d'étudiant, je reçois un coup de fil, je réponds. C'est une agence de recrutement, basée à Londres, qui me propose un rendez-vous d’entretien d'embauche.

 Je n’étais pas bien depuis quelques jours, quelques semaines même, trois semaines, quatre semaines. J’avais encore ces cycles émotionnels qui m'ont suivi depuis l'enfance, pratiquement depuis la préadolescence où j'étais enthousiaste, très sociable, très heureux. Et puis boum ! Descente dépressive et j'étais complètement dans le brouillard complet. Je m'isolais et je tombais dans les addictions. Et puis hop ! 

 C’était des cycles en permanence et j’ai encore eu ce cycle. C’était un cycle fatal puisque à cet âge, je sais plus, peut être vingt-quatre vingt-cinq ans, c'était le pire. Je pense que c’était la pire dépression que j'ai vécue. Et d'ailleurs les études prouvent qu’à cet âge, quand on a connu justement ces cycles bipolaires depuis l'enfance, depuis très jeune, c'est là où se produit la dépression la plus terrible. C'est la descente aux enfers et c'est exactement ce que j'ai connu. Je n’étais vraiment pas bien, alors que pendant toute l'année j'étais hyper heureux. 

 J'ai passé justement ce syndrome de l'expatriation ou de l'immigration.  C'est-à-dire qu'au début, quand on arrive dans un nouveau pays, on à cette phase d'euphorie, d'enthousiasme. On est heureux de découvrir plein de nouvelles choses, de nouvelles personnes, etc. Et puis après, il y a une phase de dépression. On ne se sent pas bien, on a le mal du pays. Et beaucoup justement n'arrivent pas à passer cette deuxième phase et rentrent chez eux, dans leur pays d'origine. Alors que à ce moment, il faut être accompagné pour passer cette dépression et s'adapter à cette nouvelle culture. La troisième phase est s'adapter et adopter la vie locale, la culture du pays. Et je n’ai pas passé ce cap puisque je suis rentré brutalement à Paris après avoir refusé ce job. Au moment de donner une réponse, j'ai eu une pensée, que je n'avais pas ce qu'il fallait. Encore une fois, que j'avais peur que ça ne fonctionne pas, que je sois rejeté et de ne pas être à la hauteur potentiellement du succès que j'aurais pu avoir. 

 Donc vous voyez bien que les deux peurs, aussi bien la peur de l'échec que la peur de la réussite sont quasi similaire. En tout cas, leurs conséquences sont absolument les mêmes puisqu’on va reculer. Et ça a été une descente aux enfers qui a duré une éternité, je suis rentré brutalement à Paris. J'ai laissé la moitié de mes affaires là-bas sans savoir où j'allais à Paris, puisque lorsque je suis parti à Manchester, j'avais rendu les clés de mon appartement à Paris et je ne savais même pas où j'allais.

 Donc je suis allé chez la famille, chez ma sœur pendant un moment. Mais ça a été un désastre, une descente aux enfers qui a duré une éternité que je ne souhaite à personne. Jusqu’à toucher le fond durement avec ce terrible burnout professionnel où je me suis écroulé totalement, psychologiquement, physiquement, émotionnellement, financièrement. Puisque j'avais perdu ma situation professionnelle, ça a été le fond de la piscine quoi.  

 Je ne sais même pas comment par miracle je suis encore là. Et tout ça au détour d'une simple vidéo sur YouTube. Je suis tombé au hasard sur une vidéo d'un marketeur. Et je l'ai suivi pendant quelques jours, j'ai pris un billet pour son premier séminaire webmarketing. Et de là, de porte en porte, un véritable labyrinthe où on ne sort plus. C’est pour ça que j'ai tellement de cœur à part partager ces messages tous les jours. Parce que si ça peut aider juste une seule personne, c'est un miracle que d'avoir ce pouvoir. C’est un véritable pouvoir extraordinaire de pouvoir ou d'avoir la faculté d’influencer la vie d'une personne de manière bénéfique et parfois même de les sortir de situation extrêmement difficile.

 Et c'est ce qui me pousse à faire ça tous les jours. C'est ce qui m'anime, cette cause profonde. C'est devenu une mission de pouvoir impacter les autres, contribuer aux autres et c'est pour ça. C’est les deux besoins humains spirituels d'ordre métaphysique pour tout entrepreneur ou entrepreneure, de grandir et de se développer au quotidien. C'est comme ça qu'on devient profondément heureux et heureuse et contribuer aux autres. Et quand tu fais ça à travers ces deux besoins humains, tu as une vie accomplie. 

 Combien de personnes sur cette terre peuvent se targuer d'avoir des vies accomplies. Quand on sait que la majorité des personnes sur leur lit de mort regrettent, ont des remords de ne pas avoir fait les choix, les bonnes décisions, de ne pas avoir eu le courage de décider de la vie qu'ils souhaitaient, de pouvoir créer, de pouvoir sculpter sa vie, son identité. Et c'est pour ça que se transcender, c'est sculpter son identité à travers le caractère et les attitudes, les compétences et les connaissances et enfin les valeurs et les croyances.

 Donc tu vois, c'est une question de décision. Et tu n'as pas à choisir entre la peur de l'échec ou la peur de la réussite. Ton option, c'est d'avoir le pouvoir sur tes émotions et donc de choisir des décisions courageuses. Et la réussite demande juste ça en fait, de l'audace, plus que du talent. Et c'est terrible de passer à côté de sa vie, comme moi l’entièreté de ma vie. Je suis passé à côté, j'étais en mode survie, je vivais par défaut. J’étais paralysé dans cette petite zone de de développement, comme cette expérience de l'impuissance apprise que vous connaissez, ces malheureux chiens qui ont été électrocutés et qui au bout d'un moment, étaient paralysés dans une petite zone de la pièce. Alors que le la pièce n'était pas électrifiée. Mais simplement parce qu’ils ont subi ce choc électrique auparavant et qu'ils n'osent plus franchir cette petite zone. Comme moi, toute ma vie, j'ai eu ce choc de l'impuissance apprise à travers cet abandon émotionnel à l'âge de sept huit ans qui est resté dans mon subconscient. Je n'étais pas conscient de ça et toute ma vie, j'ai eu peur d'avancer, de prendre des décisions courageuses.

 Donc vous voyez bien combien les peurs irrationnelles, irrationnelles parce qu’on ne peut pas les matérialiser, combien ces peurs irrationnelles peuvent nous faire du mal. 

 Je veux qu'à partir d'aujourd'hui tu prennes des décisions courageuses lorsque tu as peur. C’est un signal qu'il faut aller de l'avant. Et tu verras ta vie va changer du jour au lendemain. 

 Et donc je termine là-dessus et n'oublie pas, encore une fois, je suis comme l'agent catalyseur qui va secouer ton esprit pour créer une réaction en chaîne et te faire passer de la confusion, donc d'un endroit où tu n'arrives pas à obtenir les résultats que tu veux, à impulser ton Momentum et te faire accéder à ton propre territoire de performance ultime.

 Et c'est ma mission. 

 Merci à toi et à demain pour le prochain live.