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Bonsoir les amis entrepreneurs, entrepreneures.
Tous les soirs, je vous donne de la valeur pour que vous puissiez sortir de la confusion et enfin impulser votre Momentum. Aller au bout de votre aventure entrepreneuriale, ne rien lâcher, ne rien abandonner et quoi qu'il en coûte, aller au bout, transcender au niveau de votre identité à travers le caractère, les compétences et les croyances pour devenir la personne capable d'aller au bout et de créer cette vision entrepreneuriale.
C'est pour ça qu'il faut absolument arrêter de vous comparer aux autres, car la personne à qui vous devez vous comparer au quotidien, c'est qui vous devenez, qui vous devez devenir pour créer cette vision entrepreneuriale. Entre le moment T où votre identité on va l'appeler, la thèse veut créer quelque chose et l'antithèse, c'est la personne qu'il faut devenir pour créer cette vision. Vous êtes en devenir au quotidien. Chaque jour, vous devenez puisque vous grandissez en termes de croyance, de compétence, de comportement, vous évoluez. Vous êtes en évolution permanente quand vous vous donnez les moyens de le faire et que vous sortez de cette zone de paralysie de peur dans laquelle on est et dans laquelle j'ai vécu toute ma vie finalement. Et on ne vit pas, on survit. Encore une fois, on vit par défaut et il est impossible de créer quoi que ce soit d'ambitieux et de s'accomplir, surtout dans cette petite zone de développement.
Il faut sortir de cette zone limitée, de sécurité, de confiance. Vous l'appelez comme vous voulez, de peur, de certitude. La certitude de ne pas souffrir finalement. Mais au fond de soi, soyons honnêtes, on souffre en silence. Moi, j'ai souffert en silence dans cette petite zone de développement toute ma vie depuis l'enfance en fait, et je me suis accoutumé à vivre avec une dépression silencieuse en moi. C'est terrible pour un enfant de vivre avec ça. Terrible de ne pas pouvoir partager ses émotions et se soulager auprès de proches qui vous écoutent, qui vous réconfortent. C'est terrible pour un enfant de devoir vivre avec ça, faire avec et chercher des solutions par soi-même, par tâtonnements, par test échec. J'ai fait toute ma vie par test échec, puisque je n'avais personne pour pouvoir me montrer le chemin, me guider. Et c'est pour ça, aujourd'hui, je suis tellement animé par cette cause, cette mission de transmettre ce que j'ai, mon expérience et toutes ces années de souffrance. Et en les recoupant avec tout ce que j'ai appris depuis que je suis dans le business en ligne, dans ce monde du développement personnel qui est tant décrié.
Mais quand on regarde bien et quand on définit ce qu’est le développement personnel, par développement, c'est le développement des six besoins humains que vous connaissez maintenant, besoin de signifiance, d'amour, de certitude, d'incertitude, de grandir et de contribuer aux autres. Les six besoins, dont les deux besoins humains qui sont d'ordre métaphysique, sont au-dessus du physique, qui sont le besoin de grandir, de se développer et le besoin de contribuer aux autres. Ça, c'est les deux besoins métaphysiques spirituels qui sont au-dessus finalement des besoins primaires, physiques, tangibles qui sont l'amour, se connecter à soi, aux autres, la certitude de ne pas souffrir et d'aller vers le plaisir, l’incertitude, variété de choix et signifiant de se sentir important. Et hier, j'ai justement évoqué le bonheur ultime, le bonheur idéal, permanent. C’est à travers ces deux besoins humains qui sont de grandir, de se développer et de contribuer aux autres, c’est deux besoins humains là d'ordre métaphysique, spirituel, ils sont permanents alors que les quatre autres besoins d'ordre physique, d'ordre tangible sont momentanés.
Hier, j'ai abordé justement cette recherche du plaisir, du bonheur idéal ultime, notamment à travers les quatre besoins humains d'ordre physique, et j’ai donné l'exemple de ces personnes qui courent après le partenaire ou la partenaire idéale, notamment. Et finalement tous ces quatre besoins physiques, c'est juste des sparadraps. Parce que le bonheur permanent ultime, c'est celui qui est en nous même, qu'on puise en nous-même. Ce n’est pas les autres qui vont nous rendre heureux si nous au fond de nous, on est malheureux. Ma vie durant, j'ai vécu avec cette dépression silencieuse, bien que je pouvais être très sociable. Et même dans les moments de sociabilité, j'étais souvent absent. J'étais toujours dans mes pensées, dans ces pensées du passé, de regret, toutes ces émotions négatives et toxiques ou dans l'angoisse du futur, du lendemain.
C’est au fond de soi qu’on peut générer ce bonheur idéal et permanent, à travers notamment ces deux besoins humains fondamentaux de grandir, de sentir qu'on progresse et de contribuer aux autres.
Et hier, j'ai évoqué justement les personnes les plus heureuses, d'après des études, c'est les personnes qui sentent qu'elles progressent dans leur vie, qu'elles se développent. Ça vient de l'intérieur et pas l'extérieur. Ce n’est pas les 4 besoins physiques d'ordre matériel extérieur qui vont générer ce bonheur profond, permanent. C'est des mirages tous ces bonheurs d'ordre matériel, que ce soit cette richesse matérielle, ces soirées où on peut claquer des sommes folles dans des bouteilles de champagne pour paraître signifiant, important aux yeux des autres et surtout de la gent féminine. Mais au fond c'est juste un mirage. Le jour où vous n'avez plus les moyens d'assurer ça, il n’y a plus personne sur scène. Il n’y a que vous très souvent. Je suis allé dans la solution pour se sentir heureux et accompli au quotidien, parce que ça, c'est extrêmement important.
Quand on a l'ambition de créer une vision entrepreneuriale, c'est d'être au top pratiquement à tout moment, même dans les moments de bas. Bien sûr, c'est la nature humaine, on a des cycles émotionnels. Et la force justement, des personnes qui vont au bout de leur vision entrepreneuriale, c'est qu'elles sont en capacité dans ces moments de bas, de s'influencer mentalement pour changer d'émotion par la physiologie, le verbal et le focus sur des énergies et sur des pensées qui vont générer cette énergie émotionnelle. Et ça, c'est la force des gens qui atteignent le très haut niveau, qui vont très haut dans tous les domaines, hein artistique, sportif, business, etc., c'est des gens qui ont cette capacité à rebondir et à influencer leur mental à tout moment. C’est leur force, bien plus que le don inné dont ils seraient pourvus. Mais dans toute réussite, c'est bien plus une question de courage que de talent, parce qu'on peut être talentueux par la répétition. Jordan n'est pas devenu Jordan du jour au lendemain, et bien d'autres. C'est parce qu'ils avaient cette capacité mentale à s'influencer et à continuer malgré tout, malgré les coups durs, malgré les jérémias, malgré toutes les épreuves de vie. Et par capacité, c'est surtout ce courage de se relever. Ce n’est pas une question de talent.
Finalement, il y a des gens beaucoup plus talentueux mais qui végètent, qui végètent des années, des années et des années alors qu'elles ont du talent. Elles ont des compétences, elles ont des connaissances et c'est ce simple mur des peurs irrationnelles encore une fois, parce qu'on n'arrive pas à les matérialiser. C'est des peurs irrationnelles, invisibles qui se réalisent par des doutes, des angoisses, des frustrations et tous les syndromes de l'imposteur, Je ne suis pas légitime, je n’ai pas ce qu'il faut et par toute sorte d'évitement, le perfectionnisme, juste pour contourner en fait, pas oser aller dans l'arène et faire face.
Et dans l'entrepreneuriat, il y a quelque chose qui me choque, c'est les personnes qui veulent être sûres de réussir pour faire quelque chose. On entend ça tout le temps. Je veux être sûr de réussir pour faire quelque chose. Est-ce que les artistes, les acteurs débutants posent la question de savoir comment il faut s'habiller pour les Oscars ou pour les Molière ? Un acteur débutant qui posait cette question, mais on va le prendre pour un dingue pour une folle. Et ben ça revient exactement au même, un entrepreneur ou une entrepreneure ou entrepreneuse qui poserait cette question ou cette affirmation, je veux être certaine ou certain de réussir pour m'engager dans ce que tu me proposes. C'est le même cas de figure que l'exemple que j'ai donné avec l'acteur ou l'artiste. Et il voudrait savoir comment s'habiller pour les Oscars alors qu'il commence à peine ses cours de chant ou de théâtre.
L'entrepreneuriat c'est pareil, c'est un processus transformationnel. C’est-à-dire, être capable de porter le costume comme un acteur, ce costume de la réussite. Il faut être taillé, en l'occurrence, à travers l'identité et j'évoque encore l'identité à travers les trois couches compétences et connaissance, la deuxième couche, valeur et croyance et la troisième couche, caractère et attitude. Si on n'a pas déjà cette identité pour porter ce costume, on ne peut pas poser cette question ou dire je veux être sûr de réussir pour faire quelque chose, pour écrire un bouquin ou pour x chose.
Hier, j'avais donné justement les références des bouquins de M J. De Marco, des références dans le business en ligne, Fast Lane millionnaire et unscripted. Justement, j'ai la version physique de unscripted. En plus il vient d'être traduit enfin, ça fait quelques mois ou un an ou deux peut-être. C’est très bien pour les personnes qui ne parlent pas anglais. Et quand il a écrit ce bouquin, il l'a proposé en maison d'édition. Personne n'en voulait, personne n'y croyait. Et c'est un best-seller, vendu à je ne sais pas combien d'exemplaires. Enfin, c'est énorme quand on pense que quatre-vingt pour cent des bouquins aux États Unis se vendent à mille exemplaires. Et je pense qu'en France c'est à peu près pareil. Est-ce qu'il a posé la question ou dire, je veux être sûr de réussir pour écrire ce bouquin. Et l'entrepreneuriat c'est pareil, c'est un processus et dans ce processus, on est en devenir. Chaque jour on devient cette identité capable de créer cette vision.
Et c'est pour ça je répète tout le temps, arrêtez de vous comparer aux autres, comparez-vous à qui vous étiez il y a un an, qui vous êtes aujourd'hui et qui vous serez dans six mois, un an. Si vous voyez que vous stagnez, c'est qu'il y a un problème. Mais si vous sentez que vous évoluez et que vous progressez, vous êtes sur la bonne voie, la concrétisation de votre vision matérielle. Parce que c'est ça qui intéresse tout le monde, financièrement, c'est quand que ça va tomber. Ce n'est que la partie émergée de l'iceberg. La plupart des réussites, des grosses réussites dans le business en ligne, c'est des gens qui ont passé trois, quatre ans, cinq ans et même plus parfois dix ans pour faire le million d'euros par an. Certains le font très vite en un an, deux ans, trois ans, d'autres le font en dix ans. Mais ce n’est pas une course contre les autres, c'est une course contre vous-même. Peu importe que vous fassiez le million dans un an, deux ans ou dix ans, si vous sentez que vous grandissez, que vous vous développez, c'est ça qui compte.
Et comme j'ai dit tout à l'heure, il y a des études sociologiques qui ont prouvé que les personnes les plus heureuses sont celles qui sentent qu'elles progressent, qu'elles se développent. Et le résultat financier, finalement, c'est que la cerise sur le gâteau. Et quand vous procédez de cette manière, quand vous avez cette perception des choses de cette manière, vous vous détachez du résultat final. Et plus vous vous détachez du résultat final, plus il va arriver tôt finalement. Et c'est quand on crée cet attachement à ce résultat final, cette tension parce que j'ai expliqué déjà que dans le processus, toute création vient du subconscient et notre conscient vient parasiter, interférer contre cette énergie qui vient du sang. C'est justement cet attachement au résultat au quotidien, à l'aspect financier ou tout attachement à une chose, que ça soit ces vanity metrics qui flattent l'ego, plus on s'attache à ces choses-là, en fait, on constate que moins on a de résultats. Alors que quand on fait quelque chose et on se détache de cette chose, c'est là que le résultat se produit.
Et cet attachement, c'est exactement la même chose dans toutes les choses au quotidien, dans les relations amicales, amoureuses, familiales. Plus on va presser l'autre par notre présence, par nos demandes incessantes, plus cette personne va s'éloigner de nous, fatalement. Même l'environnement proche, familial, amical et amoureux, c’est exactement pareil.
Toute personne prend ses jambes à son cou quand elle se sent pressée par quelqu'un d'autre, parce que j'ai expliqué déjà le processus, qu’il y a un échange de valeur dans toute transaction. Qu'on le veuille ou non, un échange de valeur n'est pas que le matériel. La réussite qu'on veut matérielle, il faut la payer, il faut en payer le prix. Et ça, il n'y a pas de raccourci pour ça. Et il y a des gens qui tentent des raccourcis à travers des scams, etc., mais ça ne dure pas. Ce n’est pas durable et à quel prix on paie ça sur le plan moral. Dans toute transaction, il y a un échange de valeur, et pour cette réussite qu'on souhaite entrepreneuriale, il faut payer le prix.
Le prix qu'on va payer, c'est celui de devenir cette personne capable de créer ce succès. Et notre rêve, notre vision, notre projet, quelle que soit la chose qu'on veut transformer en réalité dans notre quotidien, il faut qu'elle soit proportionnelle à nos actes. Si notre vision a dépassé largement nos actions, forcément, il y aura de la frustration. Et d'ailleurs, on le voit au quotidien, quand on fait nos actions entrepreneuriales ou qu'on apprend des connaissances, vous voyez bien qu’il y a trois niveaux d'engagement quand nos connaissances dépassent le challenge, on s'ennuie. Quand le challenge dépasse nos connaissances, on se frustre. Le spot idéal, c'est que nos compétences égalent notre challenge, et là, on est dans le flow. C'est exactement pareil pour notre vision, si cette vision est en décalage, comme je viens de le dire à travers les trois exemples, soit on tombe dans l'ennui, on voit bien, il y a des entrepreneurs qui s'ennuient dans ce qu'ils font. Il n’y a pas de sens, ils se sentent vides. Et même s'ils réalisent des résultats financiers. D’autres qui se frustrent parce que leurs compétences sont inférieures aux challenges à relever, et en termes de compétences, ce n’est pas que des connaissances techniques, c'est bien plus que ça, des connaissances, des principes psychologiques, etc. Ce n’est pas que des compétences techniques pures parce qu'encore une fois les connaissances techniques pures, on peut les déléguer.
Je ne comprends pas pourquoi ça génère autant de résistance. On n'a pas à tout connaître techniquement, il y a des gens maintenant pour pas cher qui peuvent vous faire des pages de vente, des pubs, tout ce que vous voulez techniquement. Vous, vous devez vous consacrer à devenir expert ou experte de votre domaine. C'est là où est votre effet de levier qui va produire quatre-vingt pour cent de vos résultats, devenir un expert dans votre domaine. Et c'est là où vous devez passer le maximum de temps. Et comme tout le monde, j'ai fait cette erreur, passer un temps fou à faire un site WordPress, etc. Mais ça ne fait pas avancer parce que, quand j'ai mis le pied dans le business en ligne, tout le monde parlait que de ça en fait, les connaissances techniques, marketing. C’est l'action massive dans ces techniques. Mais ce n'est que vingt à trente pour cent de la réussite finalement. La vraie valeur, les fondations où il faut consacrer le maximum de son temps, c'est justement dans les principes psychologiques et en termes de mental. C'est soixante-dix pour cent de la réussite, soixante-dix à quatre-vingt pour cent, parce que c'est là où vous allez pouvoir exploser tous les plafonds de verre. Et les 1% qui arrivent à des résultats au-delà de la moyenne, 0.5% ou 1%, on va dire entre un et cinq pour cent. Leur seule capacité a été d'exploser ces plafonds de verre et d'avoir eu le courage de sortir de ce que la moyenne fait. En fait, ils n’ont fait que quatre-vingt-quinze pour cent ne fait pas et ce n’est pas des connaissances techniques. Comment faire un tunnel de vente ? Comment lancer des pubs ? Comment créer une audience sur Insta. Ce n’est pas ça qui a fait qu'elles sont arrivées à ce niveau-là.
En conclusion, dans cette série passer de la confusion à impulser ton Momentum, aujourd’hui, j'ai évoqué cet aspect d'arrêter de vouloir faire les choses qu'à partir du moment où on est sûr de réussir. Et j'ai donné l'exemple d'un acteur débutant qui demanderait comment s'habiller pour les Oscars. Et un entrepreneur, c'est exactement pareil, qui qui dirait et on entend très souvent, je veux être sûr de réussir. On n'est jamais sûr de rien. Et toute personne qui veut être sûr de réaliser quelque chose, je veux dire, elle finira avec des remords et des regrets, simplement sur son lit de mort. Je ne sais pas qui a dit ça, mais l'audace a du pouvoir. Et justement, quand on transcende son identité à travers les trois couches que vous connaissez maintenant, on libère ce courage, cette audace de faire ce genre de vidéo. J’aurais été incapable de les faire, il y a quelque temps en arrière, deux ans en arrière. Il me fallait une semaine pour faire une vidéo de trente secondes et je bégayais à chaque mot ou à chaque lettre pratiquement. Vous voyez bien que c'est par la répétition qu'on devient bon, qu'on devient expert dans un sujet. Et c'est ça qui fait la différence finalement, parce qu'il y a des personnes beaucoup plus talentueuses que toutes ces personnes qui atteignent ces niveaux de réussite, beaucoup plus compétentes en termes de communication, en termes de connaissance pure. Mais non pas ces caractéristiques du leader, puisque quelqu'un qui arrive à créer une vision est un leader. C’est quelqu'un qui arrive à s'influencer et je crois que c'était Albert Einstein qui avait dit ça, le génie, c'est d'être capable de créer une vision dans la réalité. Et pour ça, il faut avoir le cran de se libérer de toutes ces peurs irrationnelles.
Je remets au lendemain parce que je ne suis pas prêt. J’ai fait ça pendant deux ans, à remettre au lendemain, parce que je ne me sentais pas prêt. Mais ça, c'était juste de l'évitement. Finalement, la peur de se confronter au jugement des autres est une peur viscérale que j'ai eu toute ma vie, cette peur d'être jugé. Par jugement, c'est une peur du rejet et par peur du rejet, c'est des blessures. Parfois, c'est des blessures profondes d'abandon, de douleur forte et inconsciemment. Notre cerveau, il a goûté à cette douleur une fois, il ne veut plus y goûter.
Vous connaissez cette expérience des chiens de Pavlov avec l'électricité. Ces chiens ont été choqués une fois, ils n'osaient plus refaire le parcours alors qu'ils n'étaient plus électrifiés parce qu'ils avaient été choqués une fois. C’est le syndrome de l'impuissance apprise en fait. C’est pareil pour moi, c'est ce syndrome de l'impuissance apprise à travers cet abandon dans l'enfance qui est forme d'abandon, on va dire, abandon émotionnel qui m'a paralysé toute ma vie.
Toute ma vie, j'ai eu peur d'être rejeté, d'être jugé potentiellement. D’être rejeté et puis d'avoir cette douleur, ce qui fait que je n’ai jamais eu l'audace d'aller au bout des choses et c'est dramatique de passer à côté de sa vie comme ça. J'aurais pu accomplir tellement dans ma vie, c'est dramatique de passer à côté de sa vie en étant son propre bourreau, son propre ennemi, son pire ennemi d'être soi-même, de se battre contre soi-même en permanence. C’est terrible, c'est une souffrance terrible. Il faut absolument sortir de ça, se libérer et avoir l'audace, le courage d'aller dans l'arène et de voir grand. C'est l'erreur que j'ai fait toute ma vie, j'ai toujours vu petit alors qu’au final, ça demande exactement les mêmes efforts, le même investissement, les mêmes ressources en termes d'énergie, de focus, de temps que vous visiez petit ou grand, c'est le même investissement. Je vous promets, il faut voir grand, il faut voir très grand et au pire des cas, même si vous ne faites pas le million par an, si on mesure en termes de chiffre parce que ce n’est pas le seul moyen de mesurer. Même si vous visez dix millions et que vous faites cinq millions, vous êtes satisfait quand même, alors que si vous visez cinquante mille, vous faites vingt mille ou dix mille. Et quand vous visez grand, ça ne veut pas dire que vous allez les faire dans six mois. On s'en fout de ça. L'essentiel, c'est que vous les fassiez les dix millions ou le million, c'est ça qui compte.
Il y a des leaders de leur marché, ils ont mis dix ans à faire le million d'euros par an. Combien de personnes est prête à patienter dix ans ? En tout cas, les personnes qui sont absolument attachées aux résultats financiers. Cette personne qui est devenue leader de sa niche, c'est parce qu'elle était passionnée par ce qu'elle faisait. On ne peut pas tenir dix ans si on n'est pas passionné par ce qu'on fait. La chose qu'il faut développer le plus, c'est avoir du sens dans ce que vous faites, être porté par quelque chose qui dépasse l'aspect financier. Parce que l'aspect financier ne suffit pas pour générer cette énergie, cette hargne, cette détermination au quotidien, à monter au front, au quotidien. Comme je fais tous les soirs, vous pensez que si j'étais motivé que par le million, je pourrais faire ça ? impossible, ça demande beaucoup trop d'énergie. C'est quelque chose qui dépasse ce côté financier, matériel, c'est beaucoup plus profond.
Et d'ailleurs, depuis que j'ai généré cette énergie émotionnelle, c'est là où j'ai impulsé mon vrai Momentum qui est inarrêtable. Tant que je génère cette énergie, je suis inarrêtable, personne ne peut m'arrêter et je ne me compare pas aux autres. Je me compare à qui je deviens au quotidien, qui j'étais il y a deux trois ans, qui j'étais il y a dix ans, qui j'étais il y a vingt ans et je suis plus le même. C'est plus la même personne et je suis tellement porté par ce que je fais, que j'ai la certitude que cette vision va se réaliser. Il y aura des épreuves à surmonter. Je sais d'avance qu'il y a des épreuves encore à surmonter. Il y aura des coups durs, je suis prêt à les accepter, à les encaisser, et à me relever. Et quand vous avez ça, la vision, elle va se réaliser. Je ne sais pas quand, dans un an, cinq ans, dix ans, peu importe, mais elle va se réaliser. Mais comme je m'accomplis au quotidien dans ce que je fais, peu importe.
J'ai la gratitude pour ce que j'ai au quotidien, d'avoir un toit sur la tête, de pouvoir me nourrir et avoir mes cinq sens, pouvoir marcher, pouvoir respirer. Combien de personnes dorment dehors ? là, on est à Paris, il pleut. Combien de personnes dorment dehors ? Quelle bénédiction d'avoir un toit sur la tête déjà.
Et quand vous voyez le verre à moitié plein comme ça au quotidien, vous avez de la gratitude matin, midi et soir pour ce que vous avez, je peux vous dire que là vous créez de l'abondance. C'est une question d'énergie, c'est la loi d'attraction, peut-être. C'est une énergie, on attire ce qu'on est et moi toute ma vie, j'étais dans cette dépression silencieuse très souvent. En quatre-vingt pour cent du temps, j'étais dans de très mauvaises énergies et j'attirais que des mauvaises circonstances et même je les provoquais. Je donnais le bâton pour me faire battre, même auprès de mes proches.
Il faut absolument travailler sur cette énergie, et ça commence par la gratitude. Vous allez voir, vous allez générer de l'abondance, vous allez créer, ça va se voir sur vous, vous allez devenir attractif et ça c'est le c'est le véritable secret des personnes qui atteignent des succès énormes dans la vie.
C'est cette générosité qu'elles ont et contrairement à ce qu'on croit, les riches sont cupides, avares, etc. La majorité d'entre eux sont de bonnes personnes. Et justement, c'est parce qu'elles sont bonnes qu'elles réussissent à créer cette abondance autour d'elles, abondance tangible et intangible, ce n’est pas que le matériel.
Voilà les amis, merci pour votre présence. Je compte sur vous et je vous dis à demain.